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lundi 30 novembre 2015

LGP 2 : Par delà...

LG : Dag



Par-delà


Par-delà les méandres de la solitude
Au plus lointain que l'esprit puisse divaguer
Extrême front entre la raison et l'absurde
Folie sensée de mener ou être guidé

Il y a l' Éden où fusent les sensations
C'est un endroit où naissent les muses inspirées
Celles qui sèment des réponses sans question
Celles qui donnent réflexion pour avancer

Dans ce monde où les souffrances règnent en maître
Hélas ! Se répand l'obsolescence d'exister
Une Terre où l'humain apparaît disparaître
Dans l'antre de son cerveau surdimensionné

Par-delà les « No man's land » de nos certitudes
Au plus loin que le corps aille se purifier
Ultime barrière entre la passion non prude
Et l'obsession méfiante : aimer ou être aimé

Il y a un jardin , source des émotions
Un bosquet où éclosent les fées de l'amour
Celles qui ensemencent une joie sans nom
Celles qui rosissent les joues ,brillent nos jours

Dans ce monde fade où la tristesse est partout
Très difficile d'être désintéressé
Sur une planète où l'avenir semble flou
Dans l'déséquilibre de nos cœurs abimés

Là-bas ou pas, peut-être simplement ici
Devant nos yeux qui ne comprennent plus c'qu'ils voient
Il y a dans nos actes quotidiens de vie
Suffisamment d'espoir pour devenir heureux
Mais dans ce monde où régressent  bonté et  foi
Subsistent les vainqueurs d'un combat somptueux.

jeudi 26 novembre 2015

LGP 1 : Adieu.

LG : Man




Adieu…


Dans l’antre infernal de la grande Haine
J’ai croisé le fer avec cet avenir maudit
Je parcours l’enfer des amants déchirés
Tentant de m’enfuir.
Ton silence m’écorche, m’étouffe, me brûle et me déchire.
Mais tout s'oublie.

Pourquoi notre amour qui s’effrite ?
Pourquoi le temps qui passe nous invite
A ne penser qu’à soi.
Pourquoi est-ce que la vie nous divise ?
Pourquoi nos envies sont nos hantises ?
De perdre ou de gagner quoi ?

Caveaux souterrains de nos esprits
Pales, noircis, sales, obscurcis, blessés, cachés du monde.
Léchés par le drame du mystère.

Sur le fleuve du grand Sud, vogue une noix.
Une barque en écorce dérive au hasard.
On a perdu le Nord, la tête et notre amour.
Sur les sables désertiques des êtres écorchés.
Dernière allusion avant de m’enfuir

Et puisque l’on s’en va ailleurs.
Et puisque tout fini encore et encore dans le silence
Jusqu'à la fin d’un monde.
Jusqu'à l’autre frontière blonde, des absences

Des caveaux souterrains de nos esprits
Pales, noircis, sales, obscurcis, blessés, cachés du monde.
Léchés par les larmes de la colère

 On a cru tout savoir, tout pouvoir, sans jamais en parler
À se foutre de la fin du monde
Dans notre carquois égoïste et sournois
On s’est fait brûler les ailes par des êtres sans scrupules
Qui nous ont condamnés à écouter :
« Vos dragons en quête d’absolu se meurt
 Tués par les démons à tête d’inconnus et armures de pierres «

Pourquoi notre bon plaisir détruit toujours les rires de nos fêtes ?
Puisque Lucifer se départage l’humanité
Et puisque rien ne retient nos barques
Puisque tout nous écarte :
Adieu

Pourquoi se poser des questions ?
Pourquoi chercher de fausses réponses ?
Puisque tout nous écarte :
Adieu

Dans les caveaux souterrains de nos esprits
Pales, noircis, sales, obscurcis, blessés, cachés du monde. Léchés par les flammes de l’enfer.

Et puisque s’effacent les liens
Et puisque tout est bien comme ça
Et puisque seul ton pardon raisonne
Puisque seules tes raisons te pardonnent :
Adieu

De mon âme écarlate écartelée une étoile est venue
Comme un morceau d’espoir illusoire
Illusion (illusion) partagée (partagée)
Comme un éclair de rage...

lundi 23 novembre 2015

LGP 2 : Tercet madrigal

LG2 : Dag

Tercet Madrigal

Avec tous ces problèmes actuels
Toutes ces guerres qui nous salissent
Comm’ces « je t'aime » qui n'aboutissent
 

Petite chanson comme un refrain
Tous ces mots qui ne servent à rien
Ces écrits qui vont à la poubelle


Et tous ces chefaillons à la pelle
Qui s'intercalent comme un gâteau
Qui symbolise les jours nouveaux
Il faut éviter trappes et faux pas
Ces leçons que l'on ne retient pas
Pareille au « mille-feuille » éternel
 
Une dédicace d’hirondelle
Tu vois ma princesse, on évolue
Pas en ligne droit' mais décousu
 
Doucement certes, quand même un peu
Mais, même si c'est le pire du mieux.
Progrès de masse conflictuelle
C'est juste pour te dire ma belle ;
Tous ces avant-nous qui nous permettent
Biffer ces erreurs qu’on aime omettre
 

Encore un’ strophe sonnant pipeau
Sans intérêt mais qui fait rime pro
Mélodieux chant d’une ritournelle


dimanche 22 novembre 2015

LGP : Amazones

LG 2 :  Dag


  Amazones

Femmes adolescentes qui perdent leur candeur
Aspirées à devenir adulte avant l’heure
Bien trop jeunes à cet univers d’indifférents
Courage et aplomb seront là, assurément
L’angoisse de leur avenir qui se dessine
Amazon' apprenties en milieu misogyne

Femmes âgées, griots intarissables d’histoires
Combattant très tôt pour élever leurs mignards
Bien trop jeunes veuv’ dans ce monde égocentrique
Souffrant d’un pays en crise phallocentrique
Se débattre au mieux dans la jungle, sans mari
Amazon' encore saturées d’énergie


Femmes réservées , invisibles. Aimantes, hélas
Harassées de travail, dehors, dedans, sur place
Bien trop silencieuses quand leur conjoint est là
Subissant l’alcool, insultes ou mauvaise foi
Confiance sans faille des lendemains banals
Amazon' architect' d’intégration sociale

Femmes sous une vie de souffrances et de coups
Se dévouer pour protéger leurs petits loups
Bien trop silencieuses quand leur époux les battent
Sur l’autel de violence mâle qui éclate
Martyres tristes refusant de porter plainte
Amazones blasées, misogynie non feinte

Femmes mondaines, les machos sont en respect
Arrivées au sommet dans le presque parfait
Bien trop classe pour demeurer une suiveuse
Existence idéale pas toujours heureuse
Sublimées jusqu’au bout des ongles, sans défaut
Amazones de la mode et de ses chapeaux

Femmes dirigeantes, fortes ou décisionnaires
Pas d’arrêts maternités pour faire carrière
Bien trop class’ pour faire du moins satisfaisant
L’enthousiasme n’est pas la même sans enfant
Trop tard, l’horloge biologique est éteinte
Amazones productives, écoutées et craintes


Femmes d’une vieille aristocratie lointaine
Des cauchemars dont leurs stigmates se souviennent
Rescapées des guerres aux lendemains difficiles
Dans cette société hypocrite et virile
Conséquence de leur synode familial
Amazones des castes à justice inégale

Femmes douces, d’une grand’ franchise acérée
Donnant pour sa famille un amour sans compter
Rescapées de guerres conjugales taries
Font rayonner la galaxie quand elles sourient
Ayant la force de vivre sans artifice
Amazon' au cœur rempli de sucres et d’épices


Il n’y pas de honte à un homme de vous tenir en estime
L’égalité n’est qu’une approche minime et quand bien même
À vous toutes les combattantes Je l’affirme, le confirme et le signe ;

Femmes : Je vous aime

 


LGP : A ne pas confondre

LG 2 : Dag


                         À ne pas confondre


L’intelligence est innée
Mais l’intellect se cultive
L'une est une qualité
Que l'autre motive
L’anagramme des moutures
Mélange des mots
Épigramme de leur nature
Engrange des maux

La haine est une sanction
L’indifférence est sans flamme
La première est une action
L’autre, un état d’âme
Vérité analytique
Zappe les conséquences
Fak’ des sémantiques
Dans l’oubli de leur essence

L’amour est bonheur suprême
L’obsession, sa maladie
L’un apporte le bonheur
Que l’autre détruit.
Emmêlés dans les glossaires
Erreurs de justesse
Fautes de vocabulaire
Embrumées d’ paresse.

L’ignorance est un' barrière
L’intolérance est choisie
L’une n’est pas volontaire
Mais l’autre un délit.
Mixtur’ des définitions
Et lexique en perdition.
Comprend pas ce que l’on dit
Qui n’entend pas ce qu’il vit…


 

LGP : En équilibre

LG 2 : Dag



En équilibre


De l’ombre à la lumière
De l’extase à la peine
De l’enfer du désert
Au souffle d’un «je t’aime»
Des tréfonds aux sommets
De l’Olympe à la Terre
Qu’un rendez-vous parfait
Allume l'étincelle


Il n’y a qu’un creux de vague océane
Un minime espace entre toi et moi
Il n’y a qu’un pas, volupté profane
À travers cet épais brouillard de poix

Néant au tout vivant
D’un brin de vie au sable
Signe du Tout-Puissant
Que tout est incroyable
De la paix à la guerre
De broutille à combat
Qu’un seul êtr’ soit sincère
Et s’allume la foi

Il y a un minuscul’ chouïa d’âme
Entre une bonne ou mauvaise pensée
Il n’y a qu’une toute petit’ flamme
Qui se tient fin prête à nous embraser

De la force à l’obscure
De la trêve au vacarme
Que d’un cœur qui soit pur
Pour que sèchent les larmes
De fusion à l’éclat
Des remords aux pardons
Qu’un parfum d’Amour soit
Pour que règne l’union

Il y a si peu qui peut nous détruire
Si peu qui peut nous lier à nos yeux
Et il y a tant de chose à construire
Alors reviens, faisons- les tous les deux.
 

LGP : Et si je cours

LG 1 : Man




Alors je cours

Ne m'en veut pas si je tourne la page
Je n'ai plus de violence ni envie de hurler
Je n'ai plus d'hostilités envers le monde entier
Ne m'en veut pas , je n'ai plus le rêve insensé
D'construire un empire où tous seraient Rois et Reines
Je n'ai plus envie de sourire quand j'ai envie  de pleurer
Je n'ai plus de larmes et je n'ai plus de peurs
Car il me reste cette arme qui me pousse en avant
Qui vient d'ailleurs. 

Et si je cours à perdre haleine sur ces sentiers battus
Alors je cours sur les problèmes qui m'ont souvent abattu

J'ai découvert autour de moi ce qui m'apprend à survivre
À savoir pardonner, comprendre , respecter et aimer 
Je ne vais plus mentir pour cacher mes pensées.
Ne me repousse pas, toi qui as su guider mes pas
Je serais toujours là pour toi, mais moi aussi je vieillis
Je crois toujours en nous, à l'Homme, a tous ce qui fait ce que nous sommes

Et si je cours à perdre haleine sur ces sentiers battus
Alors je cours sur les problèmes qui m'ont souvent abattu

Je me bats pour exister en sachant rêver, en laissant le passé au passé
Je ne suis qu'une pièce qui servira à d'autre
Même si je tourne la page pour pouvoir avancer
Pour que le doute s'efface à tout jamais
Et que la joie soit coutume de tes jours
Je ai toujours dans mon âme cet espoir incompris
De vouloir à coup d'amours...changer la vie

Et si je cours à perdre haleine sur ces sentiers battus
Alors  je cours sur les problèmes qui m'ont souvent abattu

Et Si je cours à la croisée des chemins à cœur perdu …
Alors je cours sans peine vers le fruit défendu…

A la recherche d'un « je t'aime », c’est pour savoir où j'en suis, qui je suis...




.






 

 
 

jeudi 19 novembre 2015

LGP2 Et moi ?

LG : Dag
Et Moi ?

Pourquoi, je n'ai pas un « Crew » qui me suit
Des fans alanguis, des paparazzis
Des Jets privés, jet-skis et compagnie
Strass ou bien paillettes pour aller mieux ?
Hésiter ; riche seul ou pauvre à deux ?

Je n'ai pas vu Marrakech ni vu les Seychelles
Ni à Cannes, au tapis rouge, monté les marches
Vouloir tenir la chandelle par les deux bouts
Faut que j'aille voir un psy ou un marabout ?
Pas encore assez vieux pour être patriarche
Pour une société de mytho à la pelle

Je veux dormir dans un six étoilés
Aux doigts de fée d’une masseuse nue
Savourer du champagne à volonté
Palais doré sur cinquième avenue
Devenir « the Big Star », mondialisée

Mais cette incertaine volonté de tricher
Me priverais d'avoir des bonnes intentions
Les plannings chargés, la production suractive
Ce n'est pas moi, car ma passion est instinctive
Elle ne supportera pas la gloire prison
Liberté farouche. L'indomptable indomptée
,
Non, je n'ai pas de Rolex à montrer
Ni de Jaguar caché dans le garage
Pas d'hystériques sur mes tofs tagués
Désert en chameau, la mer à la nage
Ou million-d’aim’ sur mes coms postés

Ne suis pas encore adulé mais ça viendra
Ni nommé pour le Molière ou pour les Césars
Bientôt donc, je vais prendre mon billet pour Mars
Allons visiter les mystères de l'espace !
NRJ music Arwards, il est pas trop tard ?
Une entrée à la N.AS.A … Et pourquoi pas moi ?


Eh, bin voyons ! Pourquoi pas moi, pourquoi ?
Avoir le mêm’ rêve que tout le monde
Et sortir la tête de son carquois
Partir loin et faire le tour du monde
Désire-t-on toujours ce qu'on a pas ?

Cela vaut-il la peine de porter un masque ?
Pour voir fondre son âme dans le show mondial.
Euh...Non merci. Je garde mes soirées privées
Entre la famille et amis. Les êtres aimés.
Écartez loin de moi votre slow commercial.
Votre mode standard et vos frusques et vos frasques

Et alors ? Pourquoi pas ? Pourquoi pas moi !
Avoir un yacht de 2000 pieds de long
Des sirènes alcoolisées à mes bras
Passer sur les chaines télévisées
Je mérite bien un petit extra

Non bien vrai, ça ira. Merci. Je sais pourquoi
Savoir ici-bas, comment comprendre mon cœur
Car je ne suis pas les idoles hypnotisantes
D’ailleurs je ne suis pas sur leur liste d'attente
Je reste moi, cela suffit à mon bonheur
Je ne suis que moi. L'être entier et ça me va

LGP 2 : Te Quiero


LG : Dag

Te Quiero


Su voz me ha embrujado
Su aroma es divino
Ella cautiva mi alma
Atiza llama, despierto
Su cuerpo que se dibuja
Dibujado por un Dios

Deus! Me caí en tus ojos
¿O entonces son los senos?
Y yo te tomé la mano
Y yo sé que nosotros dos
Que Sellará un destino
Rodeado nos futuros

Libero te. Yo te llevas
Paredes que emparedas
Para protegerte contra
Lo está bruma oscura
Esperanza calentada
Del naufragio anónimo

El aura, tu alrededor
Ideas iluminan yo
Supongo es la libido !
Y para romper la torre
El epónimo del Amor
Un poco enamorado

Para llenar alegría
Ven a jugar en el juego
Puntuando idas-venidas
No se puede, que el fuego
Apagar todas las brasas
Que nada extinguir... nada




Si tú activas las chispas
Me, que no te esperaba
Donde mis sueños te llamas
Entonces, yo te llevaría
La tierra de Maravillas
La maravillosa diosa

Tú, la ternura símbolo.
Tu presencia calienta yo
Como un sudor pesado
Belleza, que tu nombre honra
Hoy, arrodillado, te dejo.
Esperanza es la fuerza

Oasis surge de nada
Mi encanta me devora
Sentimiento se acuerdo
Tu cuerpo contra mi cuerpo
Tu soplo sigue el ritmo
(Mi) Corazón late con el tuyo


LGP A ne pas faire :

LG Dag



À ne pas faire …


Ne plus être soi, être seul au monde.
Blasé de la ronde et se lamenter
Sur ses propres choix. Et rester caché.

Ne plus croire en Dieu et ne plus sourire.
Ne plus ressentir la peine des autres.
Se fermer les yeux et fermer des portes.

Ne plus lire la press', ne plus avoir peur.
Et pouvoir être hors d' la réalité.
Loin d'une vie de stress. Loin des agités.

Ne plus humer l'air et perdre l'espoir.
Perdre la mémoir' des scènes d'horreurs,
Celles qu'on nous sert toujours au vingt-heures.

Ne plus recevoir rien de la Sagesse.
Reste la détresse…Écorchés de guerres,
Les blasés d'Histoire au passé amer.

Ne plus faire confiance, être sans pitié.
Fier du pire, rester …Être après l'argent.
Perdre ses chances et ses bons sentiments.

Ne plus voir les fleurs. En un lieu se plaire
Et dire le contraire. Être inconsistant…
Omettre ses peurs. Omettre le temps.

Ne plus admirer le jour qui se lève
La joie des rêves et sourd aux souffrances…
Et oublier…emplie d'indifférence.

Ne plus voir l'amour, ne pas s'impliquer.
Pour ne pas donner de ses sentiments
Partir faire un tour ou bien faire semblant

Ne plus ouvrir l' âme, à son entourage.
Absence d'orage, absence d'êtr' là
Vivre sans flammes, remplit de "pourquoi ?"


Être incrédule…Jouer à la console
Alors qu'au sous-sol… cloîtré, sans attendre,
Dans sa bull' , le voisin vient de se pendre…

LGP2 : Blow of blues

LG 2 / Dag

Blow of blues


Twenty seven years already that I write words
Twenty seven years already, so many words
So many made you flee, tears as rain overturn
Remind me that I am. Silence, constantly return

That I hide my thought. Thinks you are on case closed?
Long Blues. Hidden from others as written cursed
Solitude is the path which I have to taking
You crossed my life and I saw you leaving

If now I speak to nobody. Felling so alone
I feel so lonely, I don’t tell anyone
So much reminder of my crazy decision
I asked you to go out. It’s strange this impression

I don’t dream about sun and the cornfields « walls »
I don’t recognize even anymore my voice

Twenty seven years already that I spend time
Always nothing precise everything tires me
“Bizarre”, to think the giggles later make cry
Without moving to this faintness which increases, why?

Doubt these people who consider stronger than God
I’m lost to look my way, too. Too much for my road
Wanting to be better than them. Turn back behind
Always no answer and since my life is insipid


Cracking by jealousy my hopes are gone with you
Buy my inmate stupidity, that deserve you
My life is tasteless, always this desire to go back
As a hope to reach happiness, but everything became again back

My soul is ice; there are autumn songs in me
Nothing tempts me. Bring out of my melancholy.


Twenty and more, drool texts after a headlong rush
If your memories of our pursue me to lurch
And I only want to drink to forget the life
I don’t have a full link not desire, itself

That I try to know and later by shed tears, only.
What I might be tomorrow, nothing attracts me
Strange, to think that us isn’t seen again. Never
Oh. Why? When you gave me a taster forever.

You’re not any more there, I’m not dreaming of sunshine
I don’t think more to the wonders that leaves us the nature-line
Fortunately as time passes and tasteless
To other people, no? One day I will leave my place


Hope they have more hope, more desire, more joy, more paces
That they will not make that they have the faith…

LGP2 : Mbote na Yo

LG 2  : Dag

Mbote na yo


Sincère et spontané, ton réel devient concret
Fort et fierté, inspiré du présent imparfait
Pur et capable de passions, tu te réalises
Responsable de tes actions, tu te concrétises
Fidèle à toi et humble, toi-même tu le sais
Têtu parfois, sensible, tu aim’ ce que tu fais
Vouloir toucher le ciel et penser avec la foi
Instant spirituel à se demander pourquoi
Landa moto oyo azali ko kamba yo, pe tika ete esengo e yela yo1

Grave et curieux, bienveillant et sage, généreux
Brave et copieux de talents et mage merveilleux
Oubli toutes les jalousies et les détracteurs
En vivant ton rêve, tu apportes ta chaleur
Malgré tout, il n’y a pas de victoires sans guerre
Tu vas en boire des tasses dans cette carrière
Des mains gantées pour te mettre la tête sous l’eau
Il faut bien en gagner pour devenir un héros
Landa poloto pe kabola bolingo na motema na yo mobimba2

Tu as le jeu, le talent, le cœur et l’énergie
Tu as, le feu, tu le sens, la valeur et l’esprit
Créer l’immatériel et rester là sans pleurer
Marcher vers l’essentiel, c’est la force des guerriers
Exacerbé et abusé et perfectionniste
Attentionné et messager, un grand pacifiste
A l’écoute des autres, l'éperdu de toujours
Tu es sans doute l’apôtre inconnu de l’amour
Bengana tembe nionso, pe yaka to bina.3

Mokonzi , mbote na yo. Encense nous de ta voix
Botondi mon poteau . …Confiance , nous on y croit
Et ta joie, ta fièvre illuminent chaque seconde
Ton feel, ton rythme , tes lèvres subliment le monde
Même des fausses notes tu pourrais faire passer
Notre challenge est de te pousser jusqu’au sommet
Reste toi-même , honnête et à toi toujours fidèle
Un jour tu s’ras dans le temple des Hommes immortels

Les phrases en lingala ont été traduite par Bryan GOMBA
11 = Suis le guide et laisse venir la joie en toi

22 = Suis le messager et partage l'amour avec ton cœur

33 = Viens et chasse tes doutes, viens danser

LGP 2 : Papa

LG 2 : Dag

Papa


Il ne sait pas dir’ je vous aim', ni vous montrer ses sentiments
Il a la force de dix bœufs et la chaleur d’un grand volcan
Pour accueillir, toujours debout, l’astre du jour qui se levait
On pouvait lire sur ses lèvres le murmure d’un géant

Il n’a jamais su dire j’ t’aime ni me montrer ses sentiments
Par fierté ou bien par orgueil d’être libre ou non-dépendant
Il reste seul dans ses idées, philanthropie non saccadée
Bravant la pluie ou bien le froid, pas la colèr’ qui éruptait

Il n’a jamais su dire à l’aid', j’aurais sur’ment besoin de toi
On sait que coul' dans ses veines la surpuissance d’un guerrier
Il taisait même avec les ans, la souffrance qui grandissait
Plutôt en phase avec la lun’ qu’en harmonie avec son temps.

Tu n’as jamais su dire à l’aid', j’aurais sur’ment besoin de toi
Car tu taisais le mal de vivr' qui te rongeait très lentement
Beaucoup de gens auraient hurlés, toi t’es debout par volonté
Car tu cach' l’atroce douleur qui t’assailles tout en dedans

Tu n’as jamais su dir' j’ t’aime ,ni me montrer tes sentiments
L’existence suit l’idéal, suite anarchiqu’ de tes pensées.
Au fond ta vie est un poème, une aventur’ sans baratin
De paroles’ philosophiqu' anachronie de tes idées.

Je n’ai jamais su dir' j’ t’aime, ni te montrer mes sentiments
Peur de paraitre faible ou pleutr’, peut-être fierté mal placée
Au fond nos vies sont des poèm’ que l’on garde chacun pour soi
Il y a des mots qui sont suprêm’ que l’on dit pas ou pas assez

Je te les dis aujourd’hui, parce qu’il n’est jamais trop tard :

Je t’aime PAPA


LGP 2 : S.M.S

LG Dag

Suprême Mode Superficielle


Suprême beau gosse de tous les reality-shows
Suprême Eve amante, platonique mais sans défaut
Pro-inaccessible esthète, l'intouchable extatique
Pro-séductrice, customisée à l'hyper-plastique

Est-ce qu'il faut vivre d'eau fraîche en attendant la gloire ?

Les désirs inassouvis, paraître adulé sans fin
Une peu rentable ambition dans ce monde cruel
Car le désir sensuel qui plaît aux yeux masculins
Est peu rentable ascension à des rêves virtuels

Faut-il s'emplir de néant en comblait son cœur d'espoir ?

Suprême et bel admiré, narcisse des temps modernes
Suprême et sublimée même en cachant toutes les cernes
Art du physique parfait, parfait des pieds à la tête
Dans l'art de l'esthétique et « fashion » comme étiquette

Tenir sa libido en feu au lieu de réfléchir ?

Apollon, le désiré de la gente féminine
Ou déesse dessinée par une mode assassine
Illusoire travaillé aux fragrances de Passion
Illusoir' destinée d'être qu'une décoration

Faudrait-il vivre masqué pour protéger son empire ?

Suprême virilité, charme d'un bel excentrique
Suprême féminité, source de rêves érotiques
Idéologie d'Adam, idéal du Nirvana
Idéologie d'Eden, idée échaudée de soie

Est-ce qu'il faut aimer le vent pour labourer la terre ?

Le paradis de visions, de caresses imaginaires
Est illusion fabriquée par un élan d'expansion
Paradis de tentations et de tendresse primaire
Illusion banalisée pour d'irréell' sensations

Ne trépasse-t-on pas en ne se nourrissant que d'air ?

LGP 1 : Quelle drole d'idée

LG Man



Quelle drôle d’idée



Non, tu n’es pas fou, tu n’es pas une erreur
Tout le monde court à son repos
Tout le monde se croit supérieur
Cerveaux compressés.
Quelle drôle d’idée !

Il y a dans mon âme des milliers de couleurs inexpliquées
Il y a dans mon cœur des états qui m’enflamment à éviter

Si le stress fait l’effet d’une idole
Si la vie n’est qu’un transporteur
Si elle semble être un fardeau
Une suite de malheurs
Ou d’affaires non classées
Quelle drôle d’idée !

Il y a sur mon corps des milliers d’étiquettes qu’on m’a collé
Il y a dans ma vie de plus en plus de tête à faire couper

Et plutôt que d’attendre son heure
On court plus vite que le métro
Accélérant le rythme de son bonheur
Pour rapprocher son tombeau
Déjà formaté
Quelle drôle d’idée !

Il y a pour mes yeux des milliers de chemins inexplorés
Il y a dans mes mains les marques du feu de mon passé
Non tu n’es pas fou
Si tu gardes de la de place pour vivre bien
Un peu de marginalité
Fait retarder ses fusées
Hyper-pressées
Quelle drôle d’idée !

Il y a dans mes mots des milliers de raisons pour espérer
Il y a dans ce texte suffisamment d’écho pour exploser

L’état règle ses comptes à coup de poings
La Terre à coup de reins
Cerveaux compressés d’affaires non classées
Déjà formatés, hyper-pressés
Dans cette course désespérée

Quelle drôle d’idée !!!!

mercredi 18 novembre 2015

LG2_1- Qui suis-je ?

LG 2
: Dag

Qui suis-je  ?



Laissant la plume sur le brouillon
Courir sans but et sans ambition
Ne sais où la ronde cérébrale
Veut m’entraîner. Réponse mentale
La loge neuronale est fermée
La main court à vitesse grand V
Sans réfléchir, le temps d’en venir
À ne pas me lire avant d’écrire
Ça ne semble pas sortir de moi
Car mes doigts suivent leurs propres lois
Pas grav' ; j’suis ce en quoi j’ai foi.



Je ne tremble plus devant personne
Je sais désormais qui sont les bonnes
J’ai mûri le mutin de jadis
Je m’assagis, les jeunes vieillissent
Entre lapalissade et savoir
Mais ma biographie est au quart
Beaucoup de baratins et de fautes
Eh bien, comme le fut un tiers des vôtres
La moitié de la feuille est remplie
Passe trop vite, l’histoir' de ma vie
Peu importe, je suis c' que je suis



Où va-t-on ? Où cesse l’univers ?
Tant pis, laissons faire le mystère.
Question sempiternelle est posée.
Fier et fou, jamais à court d’idées
Je toucherais le ciel de mes doigts
Drôle ou pas j’avance avec mes choix
Les trêves de paix n’existent pas.
Le rêve ; « je m’envole car j’y crois »
Fait partie de ma folle existence
Car je sais à qui faire confiance
Maintenant, je suis ce que je pense



Mon amour va vers ceux aujourd’hui
Qui à ce jour ne m’ont pas trahi
Ceux dont je suis libre de parler
Ceux qui acceptent mon amitié
Ceux qui n’ont pas peur d’être blessé
Où de blesser tout en restant vrai.
Je prie pour le bonheur dans leur vie
Je prie pour éviter les ennuis
Je sais ce que je peux éviter
Et ceux qui méritent d’être aimé.


Amen ...Je suis ce que j’ai souhaité...

Préface de Dagaz

LG 2  : Dag


Préface :

Depuis « Man (az)», premier recueil de poèmes sortit en 2011 à 75 exemplaires, il y a eu le 7° élément (sous le pseudo ; Moyz Berls) qui m'a pris beaucoup de temps et d'énergie pour un résultat pas forcement génial. Ça a été long et vu les problèmes rencontrés lors des échanges d'épreuves pour l'imprimerie, on peut le dire, « laborieux ». Bref, j'ai réussi mon défi personnel et j'en suis heureux. D'autant plus heureux qu'une maison d'édition ait acceptée de me publier.

Merci à tous ceux qui m'en ont dit du bien, merci sur le web aux « vraies » critiques non-positives mais qui m'apportent des conseils pour faire mieux la prochaine fois.

Pour décompresser, je me suis s lancé dans d'autres défis (j’adore ça) , trois pièces de théâtre qui j’espère finiront par trouver une troupe de théâtre qui acceptent de les jouer. Je me suis bien amusé et détendu en les écrivant. Et me voilà de-nouveau de retour à la poésie (cf. : « Sonnez, sonnets, elle est revenue).

Alors voilà, le deuxième recueil de poèmes ; « Dagaz », oui toujours dans les runes. Dagaz signifie ; l'accomplissement et la réalisation, l'équilibre entre la lumière et les ténèbres. Je l'ai choisi aussi parce que, à ce que l'on dit, elle permet de laisser rentrer la lumière et de bloquer l'obscurité ...

En attendant, (et si Dieu le veut), de vous présenter « L'intégraal » qui devrait reprendre la totalité des textes écrits, je partage pour vous, ce deuxième volet ….

Merci d'être là, bonne lecture ...

2- Frère de sens

LG 1 : Man




Frère de sens



C'est pas l'amour comme on l'entend
C'est pas l'attirance physique
C'est l'amitié, c'est platonique
Et ce n'est pas inconséquent

C'est sincère de sentiments
C'est pas l'union physiologique
C'est l'unité psychologique
De confident à confident

Ce n'est pas comme un jeu d'enfant
Ni une route à sens unique
C'est plus un chemin extatique
Qui nous rendrait beaucoup plus grand

C'est in-intéressé souvent
C'est pas un' liaison théorique
C'est l'aventur' philosophique
Ce n'est pas inintéressant

C'est pas involontairement
Ce n'est pas sans problématique
C'est forcément apolitique
Et tous les jours on en apprend

Ce n'est pas comme un pet de vent
C'est pas une idée lunatique
C'est beaucoup plus que bénéfique
De nettoyer son inconscient

Ce n'ait pas dû pour tous les gens
Ce n'est pas du démocratique
C'est pourtant un lien prolifique
Qui fait tant de bien en dedans.

C'est pas défini dans le temps
C'est pas preuve scientifique
C'est une pensée véridique
Qui nous encense bien au présent

C'est pas un texte de pédant
C'est pas une ode de cantique
C'est une dédicace unique

Pour toi, à nous, mon frère de sens.

préface de Mannnaz

LG 1 : Man 



Avant-tout




Enfin !!
...peut-être le meilleur mot que je puisse trouver.

Enfin, le voilà ce recueil de textes en trois parties ! Il y a si longtemps que je souhaitais extériorisé tous ces mots.

Enfin, un travail abouti, plus de papier volant dans tous les coins, fini de chercher, de torturer mon esprit à toujours changer, améliorer, couper, transformer, revenir en arrière etc...

Combien de fois me suis-je dis que cela ne servait à rien, que ça n'allait jamais être publié, que ça ne changerait pas le monde, que de tout façon cela ne sera jamais lu....Et en fait l'impact qu'il peut avoir sur les autres n'a qu'une infime importance par rapport au bien être que cela procure de réaliser un projet fini.

Je n'ai jamais eu la prétention de me comparer à des écrivains de talents, ni de me prendre pour un futur lauréat "Goncourt". J'avais juste envie de réaliser ce rêve. Quelque chose d'insignifiant dans un monde déjà surpeuplé de poètes de renom.

C'est une passion et rien à faire contre ça , les mots et les phrases que je mets de coté dans ma tête en me disant qu'écrire n'est pas pour moi reviennent comme des boomerangs. Ils veulent sortir, ils veulent exister alors je prends un papier et un stylo et je les laisse prendre vie... Je ne peux pas m'en passer comme une addiction profonde, je me plonge dans un texte qui peut m'emmener au bout de la nuit. J'ai passé des nuits blanches à écrire. 

Parfois c'est bien, parfois ça n'a aucun sens même si ça sonne joliment à l'oreille, d'autre fois c'est carrément nul. Dans tous les cas, ça fait énormément de bien au moral comme une libération. Si vous avez déjà inventé et écrit des textes ou des poèmes , vous me comprendrez, sinon n »hésitez pas à le faire.

Avant de m'amuser à regrouper ces textes, je donnais des poèmes à des amis ou à la famille. Souvent bien reçu et parfois moins. C'est le « parfois moins » qui fait le plus mal, notamment le fait que quand on offre un texte à quelqu'un déjà on ne s'attend pas forcement à ce qu’il le lise ou du moins jusqu'au bout, mais encore moins à ce qu'il le comprenne. C'est faux, j'ai eu droit à ce genre de critiques qui anéantissent le bonheur d'avoir donné un morceau de soi. Je ne parle pas de ceux qui n'aime pas, je parle de ceux qui font un débat psychanalyste (dont ils n'ont pas ni les compétences ,ni les diplômes) ….et qui feraient mieux de se regarder dans une glace avant de juger les autres.Finalement, on se sent rabaissé et pire, vu comme un marginal. 

Alors, ne vous pliez pas au regard des autres, jamais. On écrit d'abord pour soi, c'est personnel, intime. C'est un choix que de le partager avec son entourage, pas une obligation. Quand ce choix est fait, que le texte est fini, les autres peuvent en profiter.

Et toutes les critiques du monde entier ne pourraient jamais nous enlever ce sentiment de liberté d'avoir ouvert son âme et son cœur quelques minutes sur une feuille de papier.


Merci d'être là et bonne lecture...