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jeudi 28 juin 2018

Et juste pour toi (Valentine’s day)


Et juste pour toi   (Valentine’s day)


 Je te donne la plus rouge des roses, je sais que ça te fait quelque chose
Tu ne peux pas me duper…
Touché ?

Du déjà vu ? Je sais, ne sois pas blasé
Je t’offre ma dévotion en bouquet
A terre je suis à tes genoux,
Oh, bébé
Un oui, un effort, pour la nuit, pour nous.
Allons lâche un peu quand même
Ce n’est pas tous les jours qu’on se dit je t’aime
Pour un soir, viens, laisse-toi aller


Je te donne la plus rouge des roses, je sais que ça te fait quelque chose
Tu ne peux pas me duper…
Touché ?

Avec tout mon désir en prose
Qui t’a marqué les joues de rose
Tu ne peux pas te dérober
Viens danser
C’est comme autre premier rencart, ce soir,
Ne me fais pas languir d’espoir
Laisse-toi guider par mes pas
Tourne encore une fois, foi d’être à toi

 Je te donne la plus rouge des roses, je sais que ça te fait quelque chose
Tu ne peux pas me duper…
Touché ?

C’est la mode, les rendez-vous privés
Je sais que je fais mouche
Un amuse-bouche.
Pour une fois viens perdre pieds
Soyons fougueux bébé, allé on ose
Allons donc faire ce quelque chose
Par l’ardeur passion, enivrés

L’amour nous rallie à sa cause, on verra ce que le désir nous propose
Enfin te voilà captivée…
En vérité….

J’aime ton souffle dans mon cou,
Ta peau si douce me rend fou
Pas besoin d’aller trop vite…
Sens-tu nos cœurs qui palpitent…
Oh, bébé

Intemporel


Intemporel

Refusant ce présent d'un passé qui te blesse
Ressassant un passé d'un futur qui te stresses
Délaissant un futur d'un présent qui t'oppresse
Admirant le présent d'un futur en détresse
Recherchant un futur à ce passé-tristesse.
Reléguant au passé ce présent qu'il te laisse...

mercredi 27 juin 2018

Notre égoïsme


Notre égoïsme


Le printemps revient, ses parfums et ses oiseaux
Qui les verra derrièr sa prison sans barreau
Qui va sentir la natur' qui se re-merveille
Le piège se referme, on zappe son réveil.

Chacun chez soi devant l'écran d'ordinateur
Chacun peut faire sa loi et régler sa Webcam
Est-il correct d'aimer ces images d'horreurs ?
Et sage de penser sur des claviers sans âme ?

On se créer des groupes, on invente des clans
On rêve d'amitiés et d'amours irréels
On pense pas, on vit, avançant simplement
Et l'on passe à côté des beautés naturelles.

On milite, on partage, on se bat pour des causes
On croit changer le monde, avoir droit de paroles
On étale nos vies, l'injustice s'expose
En créant dans l'abstrait la noble farandole.

Mais ces multiples élans de révoltes exposées
Seront-ils aussi fort qu'une révolution ?
La division a-t-elle déjà un jour, gagnée ?
Les mots ne sont jamais aussi forts qu'les actions

Mais l'Art s'essouffle un peu comme l'humanité
La misère comm'  la richesse ont augmentées
Bientôt Mozart en jazz, Beethoven en zumba
Et Vivaldi en zouk, Tchaïkovski en salsa.

Bien sûr, il y a déjà « Ne me quitte pas »
Tandis qu'au milieu, on ne règle aucun problème
Tandis qu'au centre les plus usés du système.
On oublie les conflits sur un air de rumba.

Inspirés, les anciens reprennent leurs refrains
Motivés, les nouveaux reprennent les anciens
Et les plus imposants souvent les plus mauvais
Écrasent la nouvelle talentalité.

Sublimant son ramag', chacun dans son carquois
Chacun sur sa page, on se « com » et on se voit
Pas d'autres désirs que de fixer ses pixels
Mais on s'enfonce dans son confort matériel.

Durement ou pas est acquis jour après jour
Ni d'autres souhaits que d'oublier ses ex-amours
On subit les ravages de nos vies stressées
Des risques pas pris et d'un passé de regrets.

On a l'importance que les autres nous donnent
On est si peu de chos' dans ce monde si grand
Des fourmis passagèr' dans l'univers géant
De causes à conséquences entre hiver et automne

On a le courage parfois de refuser
Et même de temps en temps celui de dire non
Mais les batailles ne sont guère que des pets
Qui ont vite passé l'oubli, sans prétention.

Les idoles pullul' , l'avenir semble flou
Survivre à nos erreurs et avancer quand même
On pardonne, on bénie, on s'habitue à tout
On perd l'envie et l'occasion de dire « je t'aime »

dimanche 17 juin 2018

ultimate thought


Ultimate thought by DNP
 
    
When I will have written all things what I wanted to say or sing
When there will be nothing to challenge or contradict me
When my passion will be alternatively out of my ability
When my big fears will be only vague memory
I know that I will leave

Once I would have taken, all I should take
When I shall have made even, all that I had to make
Once I will have given, all I could have given
When I will had wrote, all I would have liked write
When the life will give me nothing more, no more
When I will have nothing to learn again, no more
I could go away
     
Sorry, I have done enough wrong and pretended to be strong
That aren't worth the whack to argue for nothing, in fact
When I will have given utter what I had wanted to offer
When I will have no more strength to fight for have the least worst
I know that I will leave


When my smiles will melt into a crotchet rest
When my desires will wane down and will not be a pleasure ground
Away from their attractions so I could leave without regret
Well, my faith.  To the best, I will have accomplished. What I had to do. 

Now I have to go… I will be able to leave



vendredi 15 juin 2018

on oublie


On oublie…


On oublie les cris du silence
Ceux qui prient dans l’indifférence
Ceux qui pleurent sans retenu
Ceux qui pleurent leurs disparus

Vouloir la mort, crier vengeance
Grogner plus fort l’intransigeance
Et cracher sur la blogosphère
Lâcher les chiens de sa colère.

Écrire des mots, sans remord
Utiliser ces maux à tort
Vouloir ; verdict sans jugement
À tout prix fair’ couler le sang

Se soumettre au buzz sur l’écran
Rempli de détails croustillants
Objets de haine sans le voir
Que déchaîne la force noire.

Amplifiée par notre empathie
Blessés par ces sauvageries
Attisés par les sans-consciences
Les dealers de l’intolérance.

Mais on oublie ceux qui s’enchaînent
Ceux qui restent seul dans leur peine
Ceux qui sont seul dans leur malheur
Ceux qui sont loin des projecteurs.

lundi 11 juin 2018

Mon amour


Mon Amour

Sa voix est angeline, elle envoute mon âme
Son essence est divine, elle attise ma flamme
Son corps qui se dessine, dessiné par un Dieu

Et je t'ai pris la main, je sais que nous deux
Scellera un destin, j'ai craqué sur tes yeux
Ou bien ce sont tes seins, ceinturer nos futurs

Et je t'ai emmené très loin de tous ces murs
Pour mieux te protéger de cette brume obscure
L'espoir du naufragé d'un naufrage anonyme

Cette aura qui t'entoure des idées s'illuminent
Pouvoir briser la tour libido j'imagine
Éponyme de l'Amour, amouraché un peu

Pour combler notre faim, viens t'amuser au jeu
Rythmant nos vas et viens, tu sais que brule un feu
Que rien, rien n’éteint, éteindre le brasier

Si tu allumes l'étincelle, toi que j'attendais
Où mes rêves t’appellent, je te coucherai
Terre des merveilles, merveilleuse déesse

Ta présence me caresse d’une suée de plomb
Toi, symbole tendresse qui honore ton nom
À genoux je te laisse l'espoir de notre lien

Ton corps contre mon corps, mon oasis surgit du tien
Amour qui me dévore, ta main suivant le rythme
Mon cœur battant au tien.

jeudi 7 juin 2018

tu es ...


Tu es…

T’es belle et tu le sais
Tu t’amus’ comm’ tu veux
Les hommes entre tes doigts
Que tu brises peu à peu
Rien qu’un sourire de toi
Tu allumes le feu
Jusqu’au jour où se jeu
 
A toi, te reviendras

T’es belle et tu le sais
T’es très belle c’est certain
J’ai craqué sur tes yeux
Mon cœur te veut sans fin
Peau bercée de soleil
corps dessiné par Dieu
J’avais cru que nous deux
Serait terre de merveilles

T’es belle et tu le sais
La vie n’est pas d’images
Ce n’est pas un’ façade
Quand s’écroul’ le mirage
Vienn’ les larmes en cascade
Pour des gens qui ne cessent
D’en assouvir leur faim
D’arriver à leurs fins

T’ es belle et tu le sais
Tu as appris l’éphémère
Mais le mot « Amour »
N’est pas dans ton vocabulaire
Cett’ voix qui fend l’espace
Tu t’amuses avec eux
En y faisant ta place
Tu t’imposes et tu veux
Que le monde laiss’ tes traces
Le mien te dit : ADIEU

Mon cœur est devenu de glace.

mercredi 6 juin 2018

Joaquiño


Joaquiño

Petit homme ne parle à personne de tes rêves
Ils sont à toi et personne d'autre
Poursuit ce pourquoi tu te bats
Gardes espoir attends un peu
Petit homme ce qu'il y a au fond de toi
Toi seul sais comment t'envoler
Comme un aigle…
Un aigle Roi

Pues no embarcas la barco de las aguas calmas
Donde descansara tu alma
Espéra todo aria tienes la vida delante de ti
Antes de irte en este valle clara
Merecido por el sol donde la paz te esperara
Pues no embarcas la barco de las aguas calmas
Donde descansara tu alma
Este amplia del aguas tranquillas
Donde este el espejo liso del eternidad
Merecido por el sol donde la paz te esperara…
Con suavedad 
Pequeño hombre no hablan de tu sueños
Este tienes y nadie otros
Persigue y guarda ti esperaste en ti corazon…
Espera...
Pequeño hombre, solo sabes como volar
Como Uno aguila rey

Tu sais ce que le ciel te donne
Pas ce qu'il te prendra
Ce qu'il y a au fond de toi, toi seul le sais
Bats-toi pour ça

La paz del esperitu, Esperitu de la paz


mardi 5 juin 2018

Et la peur


Et la peur

Et la peur au ventre…
Tous ces juges hérissent mes poils
Pourvoir à tout pour paraître normal
Le vide au centre…

Ce n’est pas ce métier qui te rendra meilleur
Ce que t’as perdu, tu le trouveras ailleurs
Ici, un bruit de couloir peut te nuire
Une rumeur même inventée peut te détruire

Alors avance la tête haute sans traîner les pieds
T’as du boulot, saisi ta chance et va trimer
Tu traines encore ? Tu n’as pas compris
Si tu râles d’abord, t’as fini la partie

Tu veux gagner, alors bats-toi
Ce n’est pas un bleu qui te stoppera
Une blessure de cœur, t’en parle même pas
Si tu veux ta mort, mets tout de suite les bras en croix

Accroche-toi vite et prends ta place
Dans le train de la vie, il n’y a pas de droit de grâce
Fais-toi un nom et surtout une voix
Sinon tu seras écrasé par le poids

Suis ta propre personne ou éjecte-toi, marche devant et ne tombe pas                                         
Personne ne te presse mais personne ne te relèvera
Il n’y a qu’une voix qui s’élève
T’as deux choix ou tu marches devant où tu crèves

Et le vide au centre…
Sois tu t’exprimes, sois tu déprimes
sois tu parles, sois tu te tais mais tu assumes
Et la peur au ventre…

T’es encore là, alors fait le savoir
Ou tu disparais et tchao au revoir
Pas de pitié, pas de larme
Sur l’autoroute de cette vie pas de panne


Sois tu t’exposes, sois tu imploses
Sur les sentiers de la guerre pas de retardataires
Ouais t’as mal aux genoux, pas autant que les nôtres
Ouais t’en as marre, pas autant que les autres

Et la peur au ventre, et le vide au centre…
Et la peur…
Tous ces juges m’irritent,
Oh, m’ hérissent le poil,  c’est sûr…
Pourvoir à tout pour paraître normal
Et la peur au ventre…
Et la peur …
Le vide au centre…

Ce n’est pas ça qui te rendra meilleur
Et tout ce que t’as perdu, tu le trouveras ailleurs
Ici un bruit de couloir peut te nuire
Une rumeur même inventée peut te détruire
Sois tu t’exposes ou sois tu imploses