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jeudi 5 octobre 2017

Mindelo

livre 3 ; Othel


Mindelo

Le temps est différent ici
Tant de maisons sont si jolies
Et des constructions aux murs gris
De cell’ qui n’sont jamais finies
Blocs de béton au paradis
Et dans ce bourg où la joie sonne
Au bruit des tambours qui raisonnent
Ville ou l’amour enorgueilli
Aux rythmes sourds de l’euphorie
Ainsi, aussi que va la vie

Envoutés par le son des guitares
Kuduro Batuk , Coladeira
Du Reggae-Pop-zouk au Funana
La Morna, le blues ou kizomba
Tout est bon pour amener la joie        
L’intention est celle d’égayer l’âme
L’attention si belle plait aux femmes
Chants éternels, où renait l’espoir
Eden d’archipel, berceau des arts
Au lointain le regard qui s'égare

Lune éveillée à la vive clarté
Sur sable fin affable feu de camp
Une coudée au moins depuis l’océan
Félice refrain emprunt par le vent
Délice d’embrun au salé relent
Un air joyeux chante aux stances enjaillées
Lueur troublante de notre veillée
Mœurs indécentes des moiteurs d’été
Heur’ couroucées d’un ressac encaissé
Douceur insensée sans cesse incessée.

mardi 3 octobre 2017

livre3 : Je voudrai que tu saches

Livre 3 : othel

Il faut que tu saches

Sans cesse invisible et te suivre tout le temps
Chaque instant savoir où t’es, partout être présent  
Mais il faut bien lâcher du lest… Je sais Je sais,
Pour que tu puiss’ t’envoler vers ta destinée
Aussi sûr que ton chemin t’éloigne de moi
Aussi loin que l’azur, va mais ne m’oublie pas
Je prie, j’ai confiance en Dieu.  Tu es dans mon cœur
A l’infini ma priorité, mon bonheur

Et pour cela je voudrai que tu saches :

Là,  parmi les Hommes,  des bons et des pourris
Un équilibre en somme, Un monde en eurythmie
Harmonie entre inclémence, et bénignité
Stoïcienne démence entre bien et mauvais

Tu traverseras des sentiers emplit de haine
Des gens sans loi aux sentiments remplis de pus
Des sots qu’en ont pas l’air, des fous et des tordus
Apprend à t'en défaire, ils n'en val’ pas la peine

Je voudrai que tu connaisses la différence
Entre férins impurs qui te disent t'aimer
Et les vrais aux cœurs purs, cultive cette chance
De distinguer l’improbe de l’honnêteté

Tu trouveras dans tes amis ou ta famille
Des jaloux, des envieux fielleux et des méchants
Aucun quidam n'est à l'abri, crois-moi ma fille
Car on ne choisit pas vraiment ceux de son sang

Les décisions sont dur’ à prendre dans la vie
Ne t’inquietes pas, et suit le chemin sans peur
Vois, tu n’es pas seule. Autour, ceux qui t'aime aussi
Pourront t'aider à défendre un chemin meilleur

Tu trouveras tant de cons pour autant de bons
Des victimes qui troubleront ta force à juger
Et des gens que tu aduleras sans raison
Gardes toi bien de toujours t’en immuniser

Tu rencontreras sur ta route, des amis
Et des individus qui te feront briller
Parfois d'inconnus nait une brillante magie
Aussi des rencontres du passé retrouvées

Aucune notice ni de mode d'emploi
Juste des subtils conseils qu'on peut te donner
Cultive la compassion et beaucoup de foi
Protège-toi des autres sans trop y songer.

Retiens que tu es ce que j'ai toujours souhaité
Si malgré tout quelqu’un, un jour t'en fait douter
Ecout’ ton palpitant, il saura te montrer
L’’amour, la tendresse que je t'ai apportée

J'espère être bon père, enfin pas trop mauvais
Las ! Mon côté pyrrhonien, ça date pas d'hier
Je fais au mieux et le ferais à tout jamais
Tu es ma perle, ma princesse et j'en suis fier

Je t'aime...

mercredi 12 avril 2017

J'ai jeté la clé

Livre3 : Othel



J’ai jeté la clé…


Une clé d’or pur parée de diamants
Coule en demesur’ dans l’océan
A profondeur de silence et d’indifférence

Enfouie même au fond de ma conscience
Amer de flatt’eries et d’obséquience
Porte fermée et visiophone débranché

Entrée pour toi, qui, toujours ouverte
N’est plus ,làs, qu’un désir obsolète
Est devenu blindée , triple sécurité

La mémoire vide, et l’âme usée
Vertu rance sans fin, sans patience
Le destin décide ceux qui seront défait

Loin en pensée et de mes amis
Qui m’entourent,tu en es banni
T’es un vague passé de doutes et regrets

Une seconde, juste un instant
Un lien, une affection, quelque part
Comment ai-je pu y croir’, venant de ta part ?

Bataille vaine et mise en avant
Après tant d’efforts, d’acharnement
Cause perdue d’avance, farfelue démence

Le corps fatigué et le cœur lourd
Pas de glas au clarté de l’amour
Que des mots incompris dans l’affre des non-dits

Ton obsession est d’aller là-bas
Ta vraie passion ;  ne penser qu’à toi
Ton ile rayonne, tu n’dois rien à personne

On est aveuglé plus que naïf
Idiot fasciné, j’en suis fautif
On s’redonne une chance et ça n’a aucun sens

On régresse pendant qu’ on avance
On se blesse à travers l’insouciance
A persévérer alors qu’on devrait cesser

La mémoire vide et le cœur lourd
Amitié ,si vide sans retour,
Feu si cissible faisant briller l’impossible

Qui c’est qui peut oeuvrer sans bravoure ?
Relation ratée, nuit apres jour
Voie à sens unique qui en devient cynique

Toi sur un piédestal ; une erreur
Sauf qu’on est égal,  à même hauteur
Mais le mal est fait, pas la peine d’instister

Plus de riens que d’ rires, présentement
Meilleur rendu pire avec le temps
Juste un bien pour un mal, rien de plus au final

Le corps fatigué et l’âme usée
Qui se traine en silence sans gré
Quand  le soupir souffle, les tensions nous étouffent

Fait ton odyssée,  prie un miracle
Te fair’ pardonner, faut que tu racles
Croyant au parfait que tu ne seras jamais

Tes secondes chances répétées
Du monde qu’tes mensonges ont crée
Mais l’ cœur n’est pas un objet, il sert à aimer

Dommag’ certains ne comprennent pas
Se noient en vain, dans leur orgueil froid
Hardi de stoïcisme de leur égocentrisme


Un jour et si la sagesse veut bien de toi
Tu sauras que la liberté, l’indépendance
N’sont pas antonym’ de fidéle et dévoué.
Tu sais, tu  ne m’as pas seul’ment abandonner
Tu as trahi tout ce que en toi j’avais foi

On sera amis de loin, aucune différence

lundi 10 avril 2017

Animal totem

Livre3 : othel



Animal totem (Eagle free) 


J’ vais en dance, flirté…

J’ai posé ma main à plat sur la baie vitrée,
A l’extérieur Je vois  que rien n’est altéré
Je me demande aussi comment sera dehors
Quand j’aurai réussi  mon envol vers l’ailleurs
Peut-on se fourvoyer, à vouloir être vrai ?
Je sais à l’évidence que rien est acquis
En déjouant les sorts je peux briser mes chaines
Au surplus de la peine, qui je sacrifie ?
Avec aucun regret
…à fleur des mélodies

J’aurai aimé être un lion  fort et rugissant
D’une savane au ton  orange de printemps
Changer son hinterland, est-ce vraiment trop fou ?
Pour être heureux  et cesser de douter de tout
Comment fair’ quand on est un oiseau enfermé
On a qu’une vie alors tu peux bien brocarder
Pour muer ce "qui" on  veut à ce "qui" est on est
L’ridicule n’a jamais tué , il parait...
Début d’évolution…
affleurant l’insouciance…

Je vois derrière les barreaux de ma fenêtre
Ce que j’aurai voulu , ce que j’aurai pût être
Trop aimer ce que l’on désir, fait-il souffrir ?
Croire en ce qui est bon, cela va-t-il suffire ?
À trop réfléchir , gâche-t-on notre avenir
Monotonie usée, métro-boulot-dodo
Dans la bull’ de confort où l’on survie sans joie
Plus qu’a reprendre la guitare et les morceaux
Si je trouve l’accord
…des amours interdits

Mais est-ce là, le but :  Juste vivre à survivre ?
Sur quelle base on lutte ? Quel combat on livre ?
J’avance en silence , le cœur joint à l’instint
Je vis d’insouciance leger et incertain
Hello, j’arrive…Quoi qu’il arrive, j’arrive
De tous ceux en silence, au réel perdent pieds
Prisonnier d’mes rêves, chimères qui m’appellent
Toucher l’Éternel, moi,  je sais que je pourrai
M’balader sur sa grève
L’exotisme éveillé…

Effleurant mes lèvres  au froid de la déraison
Qu’une buée mièvre envahisse un espace rond
Ou j’ai écrit « HELP » à  l’envers de mon reflet
Dans l’espoir maladroit  que quelqu’un le verrait
Celui qui a peut-être, un remede au mal-être
Où cesse Arrogance quand on s’croit épargné ?
Ne pas regarder l’heur’ , ne pas renier son age
Il faut bien du courage y croire et espérer
Continuer sans peur
 …réveill’ l’essenc’ des sens


Devenir heureux ? Je commence maintenant
Désolé a tous ceux qui m’ont connu avant
Et n’aiment pas  les changements inatendus
Stop, n’insistez pas,  vous ne me retiendrez plus
Responsable de rédition,  certain me fuit
Le bilan est fini ; de ce qu’on a, c’est beau
Et toutes citations,  ces conseils formatés
Toutes ces belles idées de réseaux sociaux
Fake motivations
 Érotisme voilé...


C’est trop tard  aujourd’hui,  vous n’êt’ plus sur ma route
Par aucune crainte à  la force de mes doutes
Accès à l’aventure de ma destinée
Plus belle à laquelle,  vous vouliez m’enfermer
Lorsque j’aurai trouvé  les « cheats-code » à craquer
J’préfère l’indifférence à la méchanceté
Certains continueront à rire, à me haïr
Pharisaïsme au pire ; apathie résignée
J’vous offre le pardon
…de corps à cœur en cadence


Si j’y crois j’peux voler, péremptoire cerveau
" Tu vivras de tes souhaits " croass’ mes idéaux
Mais le plus important dans ce réal-life game
C’est le plus endurant qui sortira indemne
Les "believe" systèmes qui décroche les " j’aime "
Car la course au succès n’est pas le bon chemin
Tant pis pour moi mais ce n’est pas  dans mes "choice-goal"
Avec ma voix à deux balles Mais tant mieux s’il vient 
J’ lui ouvrirai les bras
 Car je me suis trompé

C’est inéluctable, je ne suis pas un lion
De mon for desservable en sortant  de prison.
Je ne serais jamais,  le fauve au pelage or
Vouloir me transformer, Je sais que  j’avais tort
La nature revient au galop, c’est certain
Discipline et règles me donnent des malaises
Le comment du pourquoi : Enfin , je l’ai  trouvé
Si  je me suis égaré, ne vous en déplaise,
Si je ne le  suis pas

C’est que je suis  un aigle.



jeudi 23 mars 2017

Les rois ne se cachent plus...

Lvre 3  :Othel



Les rois ne se cachent plus pour pleurer


Même les rois ne se cachent plus pour pleurer
Les pires atrocités sont banalisées
Parce qu’on ne sait plus à quel saint se voués
Trop d’idéaux caltés…

Zones de conforts n’étant plus imperméables
Aux ouragans de nos peurs les plus implacables
Usé et laminé d’une tonne de regrets
Miné de cruautés

Parce que la violence est courante aujourd’hui
Que trop de gens sont perdus en mélancolie
La richesse n’est plus un gage de bonheur
un espoirs sans lueur

Connectés au monde inventé ou virtuel
Parenthèse agréable mais pas éternelle
On se noie d’habitudes pour taire nos souhaits
Parce que l’on perd pieds

Non-science glamour, conscience sans détour
Pertinence du jour : On a besoin d’Amour
  
Les reines subissent la dure humanité
Seules ou en public, en privée ou en télé
La jungle est partout, survivre est nécessité
Vill’, campagne ou cité

Excès d’empathie d’un monde désespéré
Ne pas pleurer pourtant se sentir dépassé
En détresse d’espace et se sentir aimé
D’amour sans intérêt

On veut une vie meilleur pour soi et les siens
Que  ceux qu’on aime soient à l’abri du besoin
Mal, douleur et souffrance n’épargnent aucun
Personne n’est gracié
  
Que d’un cœur en prison,  et nos âmes se brisent
Loi du mensonge, l’injustice nous divise
Absence d’émotion, des sentiments en crise,
Le deuil d’un être aimé

Évidence à tous sourds, la sapience du jour :
On a toujours et toujours eu besoin d’Amour

jeudi 2 mars 2017

Even more love...



About our love   

 

There are hard times to live in life.

It’s at this   point that we need positive light

Please, let’s restart our love. Come on…

 

Our relationship is eating up by  doubt obscurity

we lost faith in us…… Both

And then we meet people like us …….Lost

This strengthens our convictions

 

Love me more if you want me to stay

Even more…  I love you, you know

But if you won’t. Just, let me go

 

I know you have energy for loving me again

Makes my existence how much even...

If you do not want to see our downslide

I will not stay longer on your side

 

Love me more if you want me to stay

To be alone by being two

It’s like never do… It’s like never do…

 

Because if you feel you don’t belong to me

I'm losing feet, I'm flying away from you

I look elsewhere and the sky draws me for a new way

Cause my dreams see other way

 

Let's try again ... If you want it, I'll be here

Let's start our love and then we will go further

Love me more if you want me to stay

 

Just that………..if you want…

lundi 30 janvier 2017

Les "Cansa-gentes"

Livre 2 ; Dagaz


Les Cansa-gentes

Oyez ! Mes amis soyez prudents à vos jours !
Voyez ! Car l’ennemi n’est pas un fan de nuits
Mais s’attaque depuis que l’amour est amour
A la base même de tout ce qui est vie

Plus tard le soir quand l’astre suprême s’endort
Arrive alors la guérison de l’inconscience
Car rien , oh rien , dans tout l'univers n’est plus fort
Que l'expansion born-again à la survivance

Lorsque chaque matin rode à notre entourage
L’ombre de ces vampires de nos énergies
Vautours qui pompent la moindre part de courage
Rapace ou Etre qui ne se complaît qu’à lui

Ces quidams sans vergogne, sèment la noirceur
La souffrance et la tristesse sont leitmotivs
Leur action tout le jour durant ; fatale mort
Détruisant ce qui est joie et bonheur de vivre

Ces djinns à l’apparence humaine sont diaboliques
Et râlant sans arrêt, injustice et douleurs
Avec leur façade bon-enfant, sympathique
Rendent pâle de haine la Terre et les fleurs

Telle une confiture faisandée de pleurs
Ils sort d’eux,bien sûr, que de funèbres palabres
Et sur leurs tartines de frustrations d’erreurs
S’étale la misère du monde macabre

Le soleil se couche, le calme récidive
La lune rassure de ses rayons magiques
Et pour quelques temps redonne en définitive
Reboostant un peu de sa chaleur magnifique

Attention mes amis l’aube va se lever
Il convient de rester entier et sûr de soi
Les suceurs du désespoir sont là, déjà prêts
À détruire tout ce qui a fait votre foi

Gardez une place pour un peu de mystère
Gardez la force de ne pas abandonner
Car il n’y a pas plus ardu combat à faire
Qu’un rival inconnu, qu’un duel sans épée

Dans notre cœur, ayons, oui, une joie sans fin
Et toujours une aussi à jamais pour sourire
Ayez enfin un espoir pour nos lendemains
Et plein d'amour à recevoir et à offrir...

lundi 9 janvier 2017

empathie

livre 3  : Othel


Empathie


Les rhéteurs aguerris feraient mieux de se taire
À vouloir à tout prix protéger leur impair
Paré d’un bouclier antiparasitaire
Certain content hautain en perte de conscience
Défaut parfois d’un faux pas de l’intelligence
Début d’espoir exutoire à l’intolérance
Futil’ pensée, stérilet à la transcendance
Partageons l’empathie à ceux qui le mérite
Et ces essences belles qui les émérites
Hémisphère inquiétant’ qui perturbe les loups
Le bien-être s’apprête et se dose avant tout

Jamais ne se prête mais s’offre sans effort

Naïf, trop pur trop bon, trop con, c’est ce qu’ils disent
Pourtant est-ce vraiment un apophtegme en crise ?
Mieux qu’un mot flegme, un aphorisme qui défrise
Tu parles comme un orateur sans ambition
Ton bagou assuré n’expliqu’ pas tes actions
Tu pavan’  en tribune mais demain…qui sais ?
Rien n’est acquis ni pour toujours, ni à jamais
La bonté, vertu obsolèt’ devenu floue
Cette lueur inconnue pour ce règne de beaux
Portion de compassion qui en fait un atout,
Ne pas aimer c’est mourir d’une âme en morceaux

Les vainqueurs ne sont pas ceux qui se vantent à tort

De certains serai-je  bizarre ou bien curieux ?
Fumiste étrange, pacifiste et mystérieux
Est-ce un erreur pour les autres à être joyeux ?
Jalousie, cupidité, avidité, envies nauséabondes
N’ont jamais possédé mon corps ou mon esprit
Je souhaite à tout le mond’, tout le bonheur du monde
La Fierté ou l’extase, la joie  d’être heureux
Fierté d’amitié pour ceux qui  réussisse
Extase à ceux qui réputation bâtissent
Joie à qui arrive à vivre de sa passion
Heureux pour les heureux pour aucune raison


C’est pourquoi je suis fier, c’est pourquoi je suis fort