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lundi 25 novembre 2019

Pèlerin de l 'Ouest


Pèlerin de l’Ouest ( Lyonnais)

Toi, manant qui ose t’aventurer ici
Lit donc cette prose avant de continuer
Promeneur étourdi dans l’écrin de verdure
Tu seras ébloui par la belle nature.

De Lyon à Chaponost, tu te retrouves ici
De ces arches en morceaux d’un passé oublié
Entre liserons des haies autour de vieux vestiges
Fierté de son passé, Histoire qu’on érige.

L’aqueduc gallo-romain, snobe l’œillet d’Arménie
Et luzerne à lapins et stellaire holostée
Si stoïque effigie d’une splendide gloire
Restant figé ainsi pour l’plaisir du regard.

Le vent bercera, la bruine fine aussi 
Jusqu’à l’Orme, t’iras, de Pénard à Culet
Les branches dénudées des grands arbres grisons
Sublimant l’arrivée de la brune saison

Pénitent au cœur chaste, te voilà averti
Gare aux Platanes dynastes à l’akène duv’té,
Et les feuilles jaunies ultimes rescapées
D’un froid qui les meurtries, de sève abandonnée

En quêt’ spirituelle, toi, le marcheur parti
Attention, aux ruelles petites et creusées
Randonneur passionné, ne perd pas le Nord
Suit la coquille dessinée, elle réchauffera ton cœur

Au bout de la route, l’impasse des Palisses
Tu croiseras sans doute, dont les feuilles jaunissent
Un pin d’Aleph vieilli, après les mimosas
Le seul qui pousse ici après le Filenia  

Un chemin escarpé descend semble indécis
Tu poursuivras de biais, entre les sauvages baies
L’embourbé sentier vers le lac aux allures sages
Place bien tes pieds, sent la force qu’il dégage

A travers le brouillard, sur les cailloux gris
Vers l’étang du Boulard, sur le chemin boisé
Ne restent ni pissenlits ni gagée-des-champs   
Tu sais c’qui est parti, quand l'été fiche le camp     

A toi, le pénitent, qui son chemin pieux suit
Moins de 1600 kilomètres et c’est fini
Courage aspirant à Saint Jacques de Compostelle
Profit’ du paysage d’un calme éternel…

lundi 18 novembre 2019

feelings are not a game


Because yet  1

 Feelings are not a game

What that? Long still, you have faith yourself
Your time is not happiness on me
Or your mind, no more will bless on you
Stop the show. Stay without love for me

Crying isn’t so forgetting all pains.
Too late baby, you broke the respect
Heart closed, you know, you did me expert
What did you think? Am I your puppet?

No, you know that I know ... I have changed
I want to speak to say you; Thanks you
My eyes are open because of you.
Your wickedness is that you are wasted

I am looking for freedom and truly
Good luck along with you next patsy
We live as one, but enough...move on
Go on you road, don’t give a reason

You, which come here, you come back again
Back off, and turn away far my way
Before the rain on ours eyes, so why?
Anyway, baby is now: Good-bye

Would you see my other side, bad face?
Get out, before my feet hurt you ass
Do you take my kindness for weakness?
Cupidity worth is. Now you pay for it



mardi 1 octobre 2019

L’éthique de la vertu


L’éthique de la vertu

Issue de mon eudémonisme exacerbée
Béatitude a tout prix de l’humanité
Finalité naturelle de la raison
L’humaniste, toujours confiant en l'être humain,
Oublie les causes à effet sur notre conscience
Normative philosophie de non-malfaisance

Consensualisme plus d’actualité,
Contractualisme, règles d’une société.
Conséquentialisme, de l'action sur la Terre
Pas d’déterminisme pour les fans de mystères
L’actualisme aux affres de l’égo perdu
Pas d’égoïste dans l’éthique de la vertu,

Utilitarisme, pour le bonheur humain
Pour maximiser le bien-être en commun
Déontologie approuvée par les stoïques
C’est l’ego dans la masse, sagesse pratique
Du matérialisme d’une normalité fausse
Stoïcisme, un rouage utile dans le cosmos

Ethiqu’ nominative, tout est rationnel
Évaluation sur des actions justes et belles
Devoirs et responsabilités des héros
Plein d’termes, la philo c’est de l’amour en mot
La vertu morale, sagesse d’anthropien.
On s’perd, mais on s’y retrouve toujours à la fin…

mardi 27 août 2019

if you are the key, where is the door?


Okay, you are the key…


At today, now? No, I’m not speedy or ready,
For play up on a stage or the scene already
when courage in myself will being fulfilled
Yeah, I will be shining with all my melodies

You know, perhaps, one day, I will have succeed
I love this cool pic where you are seat on a stair
Yeah. Because if the stair it’s the kismet for me
Alright, it is clear now. You, you are thus  the key

When I see that, I know that all is possible
In front of me, I thing at the incredible
I have been stayed here, long time under my shell
alone , invisible… it’s was not very well

But if you are the key, also where is the door?
Life is a hard battle, less of wars for more peace.
Because you are a symbol mighty an awesome
of what a man can must accomplish in his life

As wonderful dreamers who does never wake up
Try to eat living stone and changing the future
I believe in love, but in first thought, I must leave
No more trouble, free from my chains. Wait for me, please

Don't lower down our guard or weapons or ours arms
Dominate all our fears, never not run away.
Learned from our mistakes , fight the torpidity
believe the present day before love the next night

Great powerful mind, .Proud gaze and head up high
Blow your strength and your motivation all you can
cause you are a motivator , you find  delight
And  yet you known,You are yourself a big man.

Other  a factor outweigh the reason in the sky
Let's cover our hopes against those who devour them,
We should therefore rejoice what we have today
Do what we love for  diffuse our joy to our days

So…Bomb the burning passion to quell the hatred
Spread his knowledge to those who know, without forcing
say nothing to those who already know all things
Love expand and shared. Strength power are in us

Finally, I found you …


I found you …



I went on all the ways without you, anything
Life empty void passion, without wanting living
Mistakes after mistakes, it was over of me
Lost myself on way without exit, in the dark
No need to talk of that, I feel it in my soul
Sharply you have crop up and you lit up my life

All my entire life, I had waiting for you
A longtime long way, day after day after you
And always everywhere, I had following you
Now I keep, you know, head high, because I…love you


After crossing the fog of the melancholy
Cheers to life together, only sky above we
Breath sweetly a pretty definition of love
All it’s stay about you, my heart writing poems
and songs to vibrate, I rock you and make you smile
Warmly attracted. Love style, Yeah… in sync in poise


I'm ready to leave, ripe to leave all behind me
Loving you with my soul, my heart and my body
I have to go, I know, will do everything for you
To go all over and make a future with you
For live by your side. I can live there, elsewhere
Where you will be. You and me, you and I... farther

I found you…

lundi 26 août 2019

Pauvre France


Pauvre France

Une terre hospitalière, un leurre depuis longtemps
Attention car c’est un paradis truqué, un enfer vous attend
Nation qui vend des armes et cri « désarmement »
Hautes sphères aux caviars, saveur sans tremblement
Entre manipulation et détournement
Elle se dit liberté, représentant la paix
D’un gouvernement à chaque tour écœurant
Aucun n’a jamais su aimer son peuple, en fait
Gérer par ceux qui pleur’ la dèche de sushis
Quelle horreur s’ils n’ont pas leur bonheur quotidien
Ceux qui font les vols gratuits de New-York-Paris
Et ceux qui veulent une place au quartier-latin

Liberté, as-tu un jour existée ?


Et nous d’en bas, sous-classe de la République
Nous, on survie comme on peut dans la contre-élite
Conditionnés à apprendre à travers leurs yeux,
Comment fair’ moins pir’ quand on ne sait pas fair’ mieux
Ton contrôle de média ne sert plus à rien.
Gilets jaun’ , foulards rouges, tu n’gères aucun litige
Des gens paumés, seuls qui meurent de froid ou de faim
Un fossé devenu viscéral qui se fige
On évite d’aller au-devant de la raison
Déjà fatigué par nos tonnes de problèmes
Et tant que l’on se bat pour sauver sa maison
On n’a pas le temps de régler d’autres dilemmes

Egalité, méprisant l’équité

Profiteurs aux sommets, vont pleurer les premiers
Enfants de la patrie corrompu par le fric
Contre-nous d’illusoire fantasmagorique
Lorsque la révolte du peuple va sonner
En finir des privilèges de privilégiés
Qui aiment s’abreuver à nos goutt’ de sueur
Qui s’gavent sur le dur combat de nos labeurs
En nous faisant avaler des pilules roses
Bonnes friandises pour mieux amadoués
Tu nous fait gober tes édulcorées couleuvres
Ta machine de domination est à l’œuvre
Abus de ton peuple, pour mieux voler leurs deniers

Fraternité, où vas-tu te cacher ?

S’il y a eu une joie de vivre ici, elle devenu bien sinistre
Il fait chaud mais pas du climat, c’est la colère.
Service secret, mafia, Franc CFA, c’est triste
La vérité ; ambiance aussi gai qu’un cimetière
Souveraine d’ex-colonies toujours actives
Même si tu leur as donné l’indépendance
Douce France… Tu as perdu l’initiative
Tu crois être maître du jeu sans concurrence
Paternité d’Afrique au contrat léonin
Tu contrôles les finances, dettes et dépenses
D’un continent qui n’a jamais été le tien
Marianne reine-manigance. Pauvre France

Tout c’qui s’dit, tout c’qui s’passe, relatés des médias
Tragédie-stratégies, l’enfer au désespoir
De la vie à la mort et des drames aux conflits
Des morceaux d’histoir’ que tu voudrais qu’on oublie…

vendredi 23 août 2019

Fils du vent


Fils du vent et de l’équilibre

Moi, je suis le fils du vent et de l’équilibre
Mon père le vaillant, ma mère sage et libre
Ont apportés tant et vraiment de belles choses
Deux géants. Deux grandes forces qui en imposent

Je suis le fils du vent, mon cœur le sait, le sent
Tempérament du feu qui aime l’océan
Signe d’amour digne du plus beau des romans
Toujours en paix. Toujours perdu, jamais perdant.

Pensées d’incroyables envols et de troubadours
Vagabond d’nuit volage et baladin le jour
Rêvant de voyage et d’aventure ineffable
Idée folle, libertin parfois trop Instable

Aussi fils de l’équilibre mon âme est libre
Toujours entre deux feux, toujours entre deux clans
Sur le qui-vive, bien curieux, heureux de vivre
Le Jamais premier mais jamais dernier pourtant

Un porte-bonheur à caresser dans ses mains
Tendresse ferveur de mon côté libertin
Protéger la santé et bénir ceux qui m’aiment
Sentiments hérités de mon côté bohème

Pour des siècles et des siècles et plus si affinités…

jeudi 22 août 2019

Ecoeuré


Écœuré

Ecœuré par cette injustice injustifiée
Drainée par le mensonge de songes arrangés
Ont raison ceux qui ont l’avocat particulier
Et au rebut celui qui n’a rien demandé

Malheurs à ces gens sans scrupule ou (et) sans cœur
Qui ont perdu toute humanité et toute âme
Et maudit soit tous ceux qui les soutiennent encore
Ces profiteurs de bonté, ces vendeurs de larmes

Ecœuré par de sociétés au vil enjeux
Qui prennent du plaisir à détruire la Terre
Pour s’enrichir au profit de moyens douteux
Des arnaqueurs au standard inégalitaire

Que tristesse et pessimisme quitte ma vie
Que la joie et le bonheur y entre aujourd’hui
Qu’inégalités, violence, racisme et haine
Disparaissent. Qu’ils s’en retournent d’où ils viennent

Ecœuré de l’indifférence générale
Et de ceux qui ne comprennent rien sans le voir
Ceux qui génèrent ce dysfonctionnement normal
Et de tous ceux qui ont abandonnés espoir

Malheurs aux élites exploiteuses des faiblesses
Ces fils de chien sans esprit ni moralité
Maudit soient ceux qui accumulent des richesses
Sur le dos d’ouvriers anathématisés

Ecœuré, je traverse mes jours en enfer
Du purgatoire avec la foi que Dieu le père
Nous sauv’ra malgré tout de cet avenir sale
Promesse promue d’une dépression fatale

mercredi 21 août 2019

J'aimerai


L’invisible dont on tait le nom …

J’aimerai que l’on accorde de l’attention, qu’enfin quelqu’un me dise à moi qu’il me croit
Faut connaitre l’ennemi dont il est question, au lieu de cacher en silence le coupable
Il n’est pas ici de débats de religion, refreinez donc vos critiques théologiques
Il s’agirait d’ouvrir les yeux de sa raison pour acquérir plus de compréhension logique

J’aimerai que la vérité éclate enfin, car Dieu n’est pas un initiateur de malheur
Il n’y a pas d’avenir certain, c’est certain quand on quitte la protection du créateur
Géniteur de la vie, essence bénéfique, amour inconditionnel de l’amour donnée
Amidonné de présents à faire en pratique, c’est un don du ciel que de donner sans compter

J’aimerai que mes disparus soient encore là moi aussi. Je crache sur le Diable le malin
Jamais, je baisserai ni l’échine, ni les bras pour balanstiquer ce monstrueux assassin
La vie est un combat, duel au quotidien. Le mal contre le bien n’est pas utopique
Il y a trop de pleutres angoissés et malsains pour dénoncer bien haut le malin satanique

J’aimerai faire entendre ma foi, ma croyance, celle que Dieu n’est pas de celui qui défait
J’aimerai que l’on croit ce que pense ; le diable est là dehors préparant ses méfaits
Cette entité, oubliée à tort, est mesquine, toujours vénérée par quelques illuminés
Ceux qui l’encense sur ce chemin de ravines ne resterons bientôt que les yeux pour pleurer

J’aimerai bien faire comprendre que nos pleurs n’ont qu’un seul coupable, nommé Diable ou Satan
Ce n’est pas le même qui réchauffe nos cœurs. Dans l’ombre de son silence, il joue l’innocent
Cette invisible entité aime faire souffrir, le jour ou la nuit, à chaque instant, tout le temps
Toujours présent pour salir nos joies et nos rires, c’est le mal qui de part ce monde se répand

J’aimerai ne plus voir, lire ou entendre : "pourquoi, Dieu, pourquoi tu as autant de destructions ?"
A chaque seconde, le pauvre se débat, pour nous maintenir contre lui sa protection
A chaque être qui a perdu sa foi en lui, car on préfère ne pas parler de démons
On se terne et le malin dans l’ombre sourit, car c’est l’invisible dont on tait le nom …

mardi 9 juillet 2019

Démission


Démission

Trop de gens dans l’entourage professionnel
Sont des hypocrites, faux-culs aux allures d’anges
Trop de gens sont dans ma vie soi-disant sociale
Moutons béats, sycophantes tremblant de peur

Des ondes négatives circulent dans ce panel
D’emmerdeurs qui ont acquis une aura étrange
Faites de caprices et de frustrations parentales
Des psychorigides qui se croient supérieurs

Des collègues cherchent une carrière, une échelle
Ceux qui n’ont pas compris ; les gueux dérangent
Et ceux qui se comportent comme des animaux
Qui voudraient du respect avec si peu d’honneur

Trop d’être mesquins et vils entachent mon ciel
Beaucoup trop à mon gout, il est temps que ça change
Adieu, cul de basses fosses, saluts cordiaux
Adieu, il est temps de retrouver le bonheur




lundi 4 mars 2019

Alea jacta est


Alea jacta est


 Zieut’ ton phone, on se tweet en prose
En WhatsApp ou même en Insta
Pour étaler des tas de choses
Sans vraiment savoir pourquoi
Pour passer le temps ou la fièvre
De nos adynamies du soir
L’ennui formaliste lève
Le prosaïsme du hasard

Mais on excelle à partager
Tous les jours des « je t’aime et toi ? »
Sur réseaux, sans savoir pourquoi
Autour de soi, on ne le fait pas
Dans notre pouvoir de réserve
On amignonne son éclat
Les limites nous desservent
Et seul, on s’isole à l’écart

Séparer le faux du vrai, oui
Vrai-virtuel, etcetera…
Une éternelle psalmodie
Ceux qui n’ le reconnaissent pas
Où sont ceux devenu sans verve
ceux qui auraient dû être hagard,
La new génération révèle
Une force qu’ell’  connait pas

Certaine chose jamais changent
C’est étrange mais c’est comme ça
C’est comme parler à un ange.
Gardien cet ange ou p’t’être pas
C’est porter une minerve
Ou des œillères anti-égards
A la lueur du jour qui s’ lève
Tu veux savoir comment ça va ?

Sans notice ni manuel
Ni vraiment de mode d’emploi
Fixant des règles rituelles
Pour vivre mieux, enfin je crois
Aux penseurs, il suffit d’un rêve
Aux rêveurs, il suffit d’y croire
Il n’y a jamais eu de trêve
Dans tous nos quotidiens combats

Il y a bien des protocoles
Quelques avis par-ci, par-là
De quoi usées nos âmes folles
Des dégâts de nos faux pas
La fatalité nous achève
On avance dans le brouillard
On croise ceux qui se relèvent
Et ceux qui ont baissé les bras

Classe, confiance et dignité
Pour tous, pour celui qui y croit
Grace à notre dextérité
Vouloir faire le bien ou pas
Il faut préserver sur nos lèvres
La doxologie de l’espoir
Quand d’autres esprits nous desservent
Mêm’ dans le moindre de nos choix

Dans les limites du moral
On se croit d’être ce qu’on doit
Ce qui ne te tue pas en général
Te rendra plus fort, c’est bien ça ?
Et l’autre ; "Ou tu marches ou tu crèves"
C’est plus ; "Ou tu restes où tu pars"
Si t’es pas content va en grève
Ou alors subit mais tait toi

Court-on vers notre liberté
Quand on est gêné par ses choix
Être un modèl’ d’intégrité
Sans choir dans la paranoïa
Nos sagacités sont si brèves
Sans l’bien-fondé de nos cauchemars
Relent d’insurgé qui s’élève
La vie est zone de combat

Soif de justice, honnêteté
Et d’intégrité parfois
Équité, mieux qu’égalité
On devrait combattre pour ça
Qu’a fait le maitre à ses élèves
Pour faire dans leur têt’ tant d’escarres
Moins d’instincts dans leur esprit mièvre
Pour plus d’abus et de passe-droits

  
On s’entiche du bout des lèvres
Le doute, la peur empêchent l’espoir
On s’en fiche et tout nous énerve
Parce qu’on ne se comprend pas
Advienne que pourra …

samedi 2 mars 2019

J'ai écrit...


Ce que je suis…

J’ai écrit des chansons, j’ai écrit des poèmes
Surfant à l’horizon, plages du paradis
Inspiré sur leur grève, sables des égéries
Emplit de mes doux rêves remplit de gens qui s’aiment

Où mon esprit abscons dévoile ses secrets
Un peu comme un plongeon dans la mer idéelle
L’utopie crie aux sourds et l’âme se révèle
Ce bel espoir qu’un jour où règnera la paix

J’ai narré des romans et aussi des nouvelles
Pleines de sentiments et des histoires d’horreur
Avec l’inspiration des cauchemars d’ailleurs
Des connexions d’actions, néant spirituel

Entre peines et rires, d’une muse à la Terre
Cette passion d’écrire, passionné résistant
C’est écarter les bras et oublier le temps
Harmoniser son moi, message à l’Univers

Parce que l’écriture, c’est comme de la danse
La désinvolture semble arborer l’esprit
Et nous accaparer entre effort et folie
Une folle épopée encombrée d’insolence

Parfois je pleure aussi en chantant des chansons
Quand je gratte ma vie en blues, en vers, en prose
Sur guitare acoustique. Eh bien oui, je compose
Electrique ou classiqu’. Le dir’ ça à l’air con

Pourtant avec elles, quand leurs refrains m’entrainent
Ça semble irréelle car les doigts s’abandonnent
Ça slide sur le manche et quand le bon son sonne
Amen. C’est dimanche, tous les jours d’la semaine

Imagine la planète où tout serait « joie »
Je suis naïf, peut-être un rêveur étourdi
Quand je pose ces vœux sur feuille ou sur ordi
Plus d’équité, c’est mieux. Que des reines et des rois

Et puis du théâtre, humour en vaudeville
Parce que c’est la vie, le contrôle de soi
Parce que le rire, nous délivre parfois
Et un seul sourire alcalinise la bile

Avec ou sans costum’, des masques blêmes aussi
On cache sa nature pour garder ses secrets
Sans perdre une seconde ou pour se protéger
Se cacher du monde, fuir ou tromper autrui

Le bien-être, ce graal, essence d’amour
Arsouillé au final par ce coquin de cœur
Le soleil caresse nos sybarit’ de corps
Lui, toujours en liesse pour faire briller nos jours

Des penseurs bonasses dont affable, un peu fou
Poèt sagaces ailé, il y en a beaucoup
Non, je n’ suis pas unique et je n’ suis pas le seul
Mieux vaut être utopiqu’ que pas penser du tout.

jeudi 28 février 2019

Crédule ou cupide

Crédule ou cupide


Dans la vie, soit tu es crédule
A moins que tu ne sois cupide
Du genre le machin bidibulle
Ou plutôt dans le genre stupide
Mais tu sais, apprendre à se taire,
N’a jamais arrêter les guerres
Et bien sûr, apprendre à les faire
N’a jamais été mieux, non plus
  
Vouloir de l’argent à tout prix
A l’encontre des sentiments
Noircir son cœur pour du profit
C’est perdre l’âme pour du temps
Se donner le style innocent
C’est s’enfermer dans une bulle.
Naïf sans en être conscient,
 Ce n’est pas terrible non plus

L’action définie qui on est
Plus que la meilleure intention
Plus que la meilleur’ des pensées
Elle est la détermination
Le doute fait l’hésitation
Il n’est pas toujours négatif
L’angoisse empêche d’avancer
Quand croire en Dieu ne suffit plus…

mardi 19 février 2019

Préface de "intégraal"


Préface : 

De temps en temps par période, je m’inquiétais de ces trous noirs de l’inspiration. La page "blanche", alors je me demandais souvent pourquoi et comment mon inspiration disparaissait ainsi. Ma muse se jouait-elle de moi ?
Cette angoisse qui est là, tous les jours, de ce que nous avons été, seront et sommes toujours, traumatisés par cette affreuse bestiole et son horloge autour du cou, cauchemar de million de citadins, cauchemar du :"J’ai pas le temps".
« écrire-penser-réfléchir-écouter-entendre-reproduire-lire-essayer-comprendre-aimer », tout mélanger, tout en même temps. Du calme…Respire lentement….
Je veux le voir cuire dans un immense chaudron et briser sa satanée clepsydre (sans eau) en morceaux. Fini le syndrome de Lewis Caroll pour redonner un sens clair à mes mots…Asta pronto
L’être humain, n’utilise pas son cerveau pour aimer ni son estomac pour respirer, par contre son cœur affamé court après d’inaccessible amours, d’irréels caprices sans valeur existentiel. Quel gâchis…Le temps, c’est de l’argent ? Et l’amour c’est quoi, alors ?
                        Il est temps de prendre son temps, d’équilibrer la synchronisation de nos ondes créatrices. Je vois et me lance plus serein vers mes projets devenu plaisir au lieu de supplice. J’ai compris, alors je prends tout mon temps, le civet en sera que plus délicieux et l’avenir plus grand. Car le bonheur est là, tout autour de nous, en nous. Il y en a aussi à ramasser tout le long de nos chemins. L’Harmonie est le plus beau de tous les desseins…
Dans ma tête, complexe tête, le lapin blanc est mort ce soir….

Aleluya…


vendredi 11 janvier 2019

Bye my love


Bye my love
(lettre de Lewis à David)


J’t’aime jusqu’à l’impossible, je t’aime à m’en étouffer.
J’t’aime au-delà du crédibl’ comme il n’est pas permis d’aimer.
D’un amour invisible, affirmé, fin, sans forcer

Je me sens si vulnérable devant tant de beauté
Celui que j’aie toujours recherché depuis tant d’années.
Amour inachevé. Amour frustré, idolâtré.

Je t’aime d’une passion sanctionnée des religions,
Que beaucoup définisse comm’ perverses tentations.
Amour de pur’ connexion. Amour par procuration,

Ce sentiment se décline à l’obsession, me dévore
Sentiments que certains pays condamnent encore à mort.
D’un amour damné à tort, aimé sans faille et sans leurre

Peux-tu la ressentir, cette liberté d’aimer ?
En dedans j’me sens plus fort mais dehors c’est pas assez
Amour d’un cœur passionné c’est aimer à tout quitter

Je pars parce que je t’aime et je n’ peux pas le déclarer
Je suis perdu devant toi, Je sais que j’peux pas gagner
Car aimer à en crever c’est aimer d’aimer être aimé

Par lâcheté ou parce que l’angoisse maintenant je pense
Des violences, la souffrance ou de mauvaise conscience
Aimer sans voir les voyeurs. Amour en sueur ou en transe

Car je n’ai pas le courag’ d’affronter l’regard des autres
Parc’que ce monde n’est pas prêt et ce n’est pas notre faute
Aimer sans contrôl’ d’apôtre, aimer à mourir pour l’autre,

Je m’étais défendu de franchir ce seuil passionnel
Je me suis éperdu le long ton corps sensuel
Aimer d’une tendresse éternelle qui donne des ailes

Mes colères cessent et mon stress s’éteint devant toi
Je voudrai te serrer dans mes bras très fort contre moi
Amour admiratif parfois ou par foi, comme loi

Ta voix douce, ta façon d’être, toujours en confiance
 Affable, souriant, si calme en toutes circonstances.
 Aimer en silence, aimer tout court, aimer sans souciance

Tu es l’eau qui apaise mon tempérament de feu.
Pardon, c’est dur, et cruel un peu. Ce sont mes adieux
Amour à jamais Hors-jeu. Aimer seul plutôt qu’à deux

Trop amant, trop aimant et que nous sommes trop fous
Pour ne pas avoir ce que l’on désire plus que tout.
Retour d’amour. Aimer tous les jours, pour toujours en nous

Je n’avais pas compris, hélas, que tu étais le phare,
La lumière qui illumine mon âme, un espoir
Amour vrai amour rare. Aimer sans envoûtement, sans fard

Pourtant mon amour pour toi sera toujours aussi fort
Dans mon esprit, penser à toi suffit à mon bonheur.
Aimer sans flegme. Amour sans chaine, sans haine sans peur

Je pars my love. Ne me déteste pas, je t’en supplie.
Okay, d’accord ; Un peu mais pas trop ni trop longtemps, please  
Haïr "je t’aime" quand on s’en va. Aimer à l’infini.

Ce ne sont pas des flashs, ces coups de foudre éphémères
Notre lien qui se brise reste graver dans la pierre.
On s’était juré d’être libr’, sans prison, ni barrière

Mais sache que tu es la plus belle chose qui soit
Jamais je n’aurai cru avoir autant besoin de toi
Pense à moi comme je t’aime et on se retrouvera.

Shit ! …

Ne fais pas attention aux taches d’encre,
Ce sont mes larmes qui n’arrêtent pas de couler.
Elles se sont arrêtées mais mon cœur continue de pleurer…


Je t’aimais, t’aime et t’aimerais toujours
God bless and protect you. See you soon. I love you


mercredi 9 janvier 2019

Trapped in relationship


Trapped in relationship

There are hard times to live in life.
So that we need positive light
Everyone have this energy
 and we can share it around us.

When feels prisoner of wedding
Whose to tell? Anyone earing
When love and trust are no longer
Who to say? Anybody cares

Danger in love, heart no use
If the other is obsessed.
We tell you, ; “Shure? Don’t you abuse?”
 “do you complain? you are blessed”

No one care , apathy is rife
But she manipulates your life.
And break down all your relations
Without no exaggeration

Stay one object for the dwelling
There is nobody to talk to.
To hear:  “Yo  man, why you lying?”
And already you stay alone

When you have lost that energy
that you have shared around you
heavy dark, all is murky deep
There are hard times to live in life.