Préface :
De temps en temps par période,
je m’inquiétais de ces trous noirs de l’inspiration. La page
"blanche", alors je me demandais souvent pourquoi et comment mon
inspiration disparaissait ainsi. Ma muse se jouait-elle de moi ?
Cette
angoisse qui est là, tous les jours, de ce que nous avons été, seront et sommes
toujours, traumatisés par cette affreuse bestiole et son horloge autour du cou,
cauchemar de million de citadins, cauchemar du :"J’ai pas le temps".
« écrire-penser-réfléchir-écouter-entendre-reproduire-lire-essayer-comprendre-aimer »,
tout mélanger, tout en même temps. Du calme…Respire lentement….
Je veux le voir cuire dans un
immense chaudron et briser sa satanée clepsydre (sans eau) en morceaux. Fini le
syndrome de Lewis Caroll pour redonner un sens clair à mes mots…Asta pronto
L’être humain, n’utilise pas
son cerveau pour aimer ni son estomac pour respirer, par contre son cœur affamé
court après d’inaccessible amours, d’irréels caprices sans valeur existentiel.
Quel gâchis…Le temps, c’est de l’argent ? Et l’amour c’est quoi,
alors ?
Il est temps de prendre son temps,
d’équilibrer la synchronisation de nos ondes créatrices. Je vois et me lance
plus serein vers mes projets devenu plaisir au lieu de supplice. J’ai compris,
alors je prends tout mon temps, le civet en sera que plus délicieux et l’avenir
plus grand. Car le bonheur est là, tout autour de nous, en nous. Il y en a
aussi à ramasser tout le long de nos chemins. L’Harmonie est le plus beau de
tous les desseins…
Dans ma tête, complexe tête, le lapin blanc est mort
ce soir….
Aleluya…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire