Ce que je suis…
J’ai
écrit des chansons, j’ai écrit des poèmes
Surfant
à l’horizon, plages du paradis
Inspiré
sur leur grève, sables des égéries
Emplit
de mes doux rêves remplit de gens qui s’aiment
Où
mon esprit abscons dévoile ses secrets
Un
peu comme un plongeon dans la mer idéelle
L’utopie
crie aux sourds et l’âme se révèle
Ce
bel espoir qu’un jour où règnera la paix
J’ai
narré des romans et aussi des nouvelles
Pleines
de sentiments et des histoires d’horreur
Avec
l’inspiration des cauchemars d’ailleurs
Des
connexions d’actions, néant spirituel
Entre
peines et rires, d’une muse à la Terre
Cette
passion d’écrire, passionné résistant
C’est
écarter les bras et oublier le temps
Harmoniser
son moi, message à l’Univers
Parce
que l’écriture, c’est comme de la danse
La
désinvolture semble arborer l’esprit
Et
nous accaparer entre effort et folie
Une
folle épopée encombrée d’insolence
Parfois
je pleure aussi en chantant des chansons
Quand
je gratte ma vie en blues, en vers, en prose
Sur
guitare acoustique. Eh bien oui, je compose
Electrique
ou classiqu’. Le dir’ ça à l’air con
Pourtant
avec elles, quand leurs refrains m’entrainent
Ça
semble irréelle car les doigts s’abandonnent
Ça
slide sur le manche et quand le bon son sonne
Amen.
C’est dimanche, tous les jours d’la semaine
Imagine
la planète où tout serait « joie »
Je
suis naïf, peut-être un rêveur étourdi
Quand
je pose ces vœux sur feuille ou sur ordi
Plus
d’équité, c’est mieux. Que des reines et des rois
Et
puis du théâtre, humour en vaudeville
Parce
que c’est la vie, le contrôle de soi
Parce
que le rire, nous délivre parfois
Et
un seul sourire alcalinise la bile
Avec
ou sans costum’, des masques blêmes aussi
On
cache sa nature pour garder ses secrets
Sans
perdre une seconde ou pour se protéger
Se
cacher du monde, fuir ou tromper autrui
Le
bien-être, ce graal, essence d’amour
Arsouillé
au final par ce coquin de cœur
Le
soleil caresse nos sybarit’ de corps
Lui,
toujours en liesse pour faire briller nos jours
Des
penseurs bonasses dont affable, un peu fou
Poèt
sagaces ailé, il y en a beaucoup
Non,
je n’ suis pas unique et je n’ suis pas le seul
Mieux
vaut être utopiqu’ que pas penser du tout.
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