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samedi 2 mars 2019

J'ai écrit...


Ce que je suis…

J’ai écrit des chansons, j’ai écrit des poèmes
Surfant à l’horizon, plages du paradis
Inspiré sur leur grève, sables des égéries
Emplit de mes doux rêves remplit de gens qui s’aiment

Où mon esprit abscons dévoile ses secrets
Un peu comme un plongeon dans la mer idéelle
L’utopie crie aux sourds et l’âme se révèle
Ce bel espoir qu’un jour où règnera la paix

J’ai narré des romans et aussi des nouvelles
Pleines de sentiments et des histoires d’horreur
Avec l’inspiration des cauchemars d’ailleurs
Des connexions d’actions, néant spirituel

Entre peines et rires, d’une muse à la Terre
Cette passion d’écrire, passionné résistant
C’est écarter les bras et oublier le temps
Harmoniser son moi, message à l’Univers

Parce que l’écriture, c’est comme de la danse
La désinvolture semble arborer l’esprit
Et nous accaparer entre effort et folie
Une folle épopée encombrée d’insolence

Parfois je pleure aussi en chantant des chansons
Quand je gratte ma vie en blues, en vers, en prose
Sur guitare acoustique. Eh bien oui, je compose
Electrique ou classiqu’. Le dir’ ça à l’air con

Pourtant avec elles, quand leurs refrains m’entrainent
Ça semble irréelle car les doigts s’abandonnent
Ça slide sur le manche et quand le bon son sonne
Amen. C’est dimanche, tous les jours d’la semaine

Imagine la planète où tout serait « joie »
Je suis naïf, peut-être un rêveur étourdi
Quand je pose ces vœux sur feuille ou sur ordi
Plus d’équité, c’est mieux. Que des reines et des rois

Et puis du théâtre, humour en vaudeville
Parce que c’est la vie, le contrôle de soi
Parce que le rire, nous délivre parfois
Et un seul sourire alcalinise la bile

Avec ou sans costum’, des masques blêmes aussi
On cache sa nature pour garder ses secrets
Sans perdre une seconde ou pour se protéger
Se cacher du monde, fuir ou tromper autrui

Le bien-être, ce graal, essence d’amour
Arsouillé au final par ce coquin de cœur
Le soleil caresse nos sybarit’ de corps
Lui, toujours en liesse pour faire briller nos jours

Des penseurs bonasses dont affable, un peu fou
Poèt sagaces ailé, il y en a beaucoup
Non, je n’ suis pas unique et je n’ suis pas le seul
Mieux vaut être utopiqu’ que pas penser du tout.

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