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samedi 20 février 2021

Qui le sait ?

 

Qui sait où tout ça va ?

 

Ecrivant des poèmes et d’autres choses encore

Délivrance en moi-même, devenir meilleur

De la complainte en prose avec ou sans raison

Des textes à l’eau de roses, j’en ai fait des chansons

Libération parfois d’assouvir ses passions

Dans n’importe quel endroit ou d’étrange façon

De n’importe quelle manière et d’intimes réflexions

Pour vider ma tête d’un trop plein de questions

Vouloir soigner la Terre ou sortir de prison

En vain, je pensais déjà me connaitre à fond

Mais plus j’avance et plus je perds mes convictions.

Entre la prétention et l’auto-dérision

  

J’ai voulu écrire des notices sur l’humain

Ses défauts à l’endroit, un plus pour vivre bien

Ses vertus-qualités et ses vices de travers

Son équilibre à tarer, fléaux à l’envers

Sur son comportement, paradis ou enfer

De causes affectées, vecteurs à effet de serre

Opposés et inverses sur 12 axes solidaires

Des principes de vivre mieux comme un parère  

Finissent par l’équilibre de l’univers

La conclusion a tous ses résultats divers

Une croisade d’une mission suicidaire

Quête du bonheur moins réel qu’imaginaire

 

 On aime prêcher la bonne parole tout l’ temps

Et avoir un avis sur tout, c’est dans mon sang

Ce n’est pas grave que personne ne me lise,

Docile, on chérit l’utopie à l’analyse.

Entre téméraire et courageux, j’ m’y enlise.

C’est compliqué mais que veux-tu que je te dise ?

Plus de détails pour que le silence se brise

Moins d’mélanges, d’amalgames qui paralysent

Comment faire pour transformer nos âmes en crise ?

Qui jouera la bonn’ carte, aura la bonne mise.

Passer pour un hippie, être impie qui défrise

Être marginal, pas sûr que cela suffise

 

Donner des conseils et de déconditionnement

Dans le genre de ceux que je ne suis pas vraiment.

On est pas un apôtre en étant de bonne foi

Vivre uniquement d’amour ne suffit pas

C’est comme dire " me juge pas" à ceux qui le font pas.

Mais ce monde est fou et ça ne s’arrange pas

Nous ne sommes que des pièces d’un jeu de l’oie

Un ensemble de pions trop solitaires parfois

Un jeu aux règles floues, alambiqué de lois

Qui a les bons atouts ? Qui sait où tout ça va ?

Ici dans ce purgatoire, qui nous sauvera ?

Et rendra la Terre moins folle qu’elle ne l’est déjà.

vendredi 24 juillet 2020

Sorry...Pardon...Lo siento

Pardon


Pardon de cette distanciation cruelle

Silence exagéré, moments non-partagés

Pardon aussi, je n’ai pas pris des nouvelles

Rêveur doux solitaire a l’ego solidaire

Désolé je le suis, moi, l’empathe engagé …

J’ai tendance à fuir ceux qui m’aiment de trop près.


Vraiment, j’ai cru être égocentrique égoïste

En croyant que rien ne touchait plus mon âme

Et puis quand notre chauffage est tombé en panne

Râlant, pestant, vénère sur les chauffagistes

Soudain sans crier gare, j’ai pleuré beaucoup

En pensant à ceux dont on fait plus attention

Pour ceux qui sont dans la rue, plus de compassion

Ceux qui sur-survivent, ceux qui n’ont rien du tout


Egoïsme et autolâtrie dans nos prières

Encore et encore ce silence délétère

Que plus rien ne brise détruisant l’accortise 

L’humanité se perd, la compassion s’épuise


Pardon pour le manque de chaleur et de temps

Pardon pour mon adiaphorie involontaire

Désolé de mon manque d’intéressement

Et désolé d’avoir toujours l’esprit en l’air

Pardon de ne plus être le même depuis

Pardon pour mes récurrentes étourderies

Lo siento itou pour ma passion dévorante

M’isolant de ceux que j’aime et qui m’aime aussi.


 J’ai même cru, un instant être un sociopathe

En pensant que rien ne toucherait plus mon cœur

Mais quand un homme c’est fait tuer, étranglé

En criant je n’peux plus respirer, j’ai pleuré.

Des larmes de " pourquoi ? ", " comment est-ce arrivé ? "

Entre "J’aime mes policiers" et "Fuck la police"

Entre la peur du virus et le compromis du vice

Et de ceux qui perdent un fils, un père, un être aimé


 Y a tant de souffrance, de parjures et de haine

Aigreurs, malversations, railleries, critiques sales

Apathie, frustration docile à l’immorale

Moquerie, indifférences, injures et peine


Pardon sincère, de pas avoir été là

Je ne serai jamais à la hauteur de tes souhaits

Pardon. Tu sais ce que tu voudrais que je sois

Moi, non. Sorry, enfin pour tes appels sans suite.

Désolé aussi d’un flegme abusé, c’est fou

J’ai parfois l’esprit en voyage loin de tout

 

Loin de toi, loin de nous, en exil, sur mon île,

Je pars quand saignent mes yeux à voir tant d’horreurs

Chacun dans sa raison, son clan, de son coté,

Tant de posts absurd’, sommes-nous civilisés ?

J’ai appris aussi à désaimer notre futur

D’ailleurs, j’étais surement dans mon univers

A regret pour étouffer les remords, c’est sûr

Décidément, j’n’ai plus vraiment les pieds sur Terre

 

Tant de négateurs voulant le mot de la fin ;

Tant de jaloux envers ceux qui ont réussi

Et tant de négociateur du vivre bien.

Tant d’âmes en perdition…J’en fais surement partie

 

…Pardon


jeudi 2 juillet 2020

Blow of blues

Blow of blues

was written in October 2002

 

 Twenty-seven years already that I write words

Twenty-seven years already, so many words

So many made you flee, tears as rain overturn

Remind me that I am. Silence, constantly return

 

That I hide my thought. Thinks you are on case closed?

Long blues. Hidden from others as written cursed

Solitude is the path which I have to talking

You crossed my life and I saw you leaving

 

If now I speak to nobody. Felling so alone

I feel so lonely, I don’t tell anyone

So much reminder of my crazy decision

I asked you to go out. It’s strange this impression

 

I don’t dream about sun and the cornfields "walls"

I don’t recognize even anymore my voice

 

 

Twenty-seven years already that I spend time

Always nothing precise everything tires me

“Bizarre” to think the giggles later lake cry

Without moving to this faintness which increases. Why?

 

Doubt these people who consider stronger than God

I’m lost to look my way, too. Too much for my road

Wanting to be better than them. Turn back behind

Always no answers and since my life is insipid

 

Cracking by jealousy my hopes are gone with you

Buy my inmate stupidity, that deserve you

My life is tasteless, always this desire to go back

As hope to reach happiness but everything became again back

 

My soul is ice; there are autumn songs in me

Nothing temps me. Bring out of my melancholy

 

Twenty and more, drool texts after a headlong rush

If your memories of us pursue me to lurch

And I only want to drink to forget the life

I don’t have a full link not desire, itself

 

That I try to know and later by shed tears, only

What I might be tomorrow, nothing attracts me

Strange to think that us isn’t seen again. Never

Oh, why? When you gave me a taster forever?

 

You’re not any more there, I ‘m not dreaming of sunshine

I don’t think more at the wonders that leaves us the nature-line

Fortunately, as time passes and tasteless

To other people, no? One day I will leave my place

 

Hope they have more hope, more desire, more joy, more paces

That they will not make that they have the faith…


lundi 24 février 2020

insensée pensée du soir

Petite pensée du soir :

Quand je vois ce qu'on vit, ça fait penser qu'on devrait penser à ce qu'on fait avant de penser à ce qu'on vit . Je crois que ce que l'on fait doit être pensé. Pas dit pour faire croire à ce que l'on a pas pensé avant de faire.Parce que ce qu'on dit quand on y pense au lieu de le faire, n'est pas ce qu'on pense vivre , mais ce que l'on voudrait vivre. Je fais ce que je pense avant de le dire car je préfère vivre ce que je fais plutôt que de dire ce je crois penser au lieu d'y penser et de ne pas penser à dire ce que je vis sans le vivre. La pensée pour vivre, pas pour faire croire que l'on a pensé à dire ce que l'on veut faire. Fallait y penser !

euh....Faut vraiment que j'aille dormir ....Bonne nuit ....

lundi 18 novembre 2019

feelings are not a game


Because yet  1

 Feelings are not a game

What that? Long still, you have faith yourself
Your time is not happiness on me
Or your mind, no more will bless on you
Stop the show. Stay without love for me

Crying isn’t so forgetting all pains.
Too late baby, you broke the respect
Heart closed, you know, you did me expert
What did you think? Am I your puppet?

No, you know that I know ... I have changed
I want to speak to say you; Thanks you
My eyes are open because of you.
Your wickedness is that you are wasted

I am looking for freedom and truly
Good luck along with you next patsy
We live as one, but enough...move on
Go on you road, don’t give a reason

You, which come here, you come back again
Back off, and turn away far my way
Before the rain on ours eyes, so why?
Anyway, baby is now: Good-bye

Would you see my other side, bad face?
Get out, before my feet hurt you ass
Do you take my kindness for weakness?
Cupidity worth is. Now you pay for it



mardi 27 août 2019

if you are the key, where is the door?


Okay, you are the key…


At today, now? No, I’m not speedy or ready,
For play up on a stage or the scene already
when courage in myself will being fulfilled
Yeah, I will be shining with all my melodies

You know, perhaps, one day, I will have succeed
I love this cool pic where you are seat on a stair
Yeah. Because if the stair it’s the kismet for me
Alright, it is clear now. You, you are thus  the key

When I see that, I know that all is possible
In front of me, I thing at the incredible
I have been stayed here, long time under my shell
alone , invisible… it’s was not very well

But if you are the key, also where is the door?
Life is a hard battle, less of wars for more peace.
Because you are a symbol mighty an awesome
of what a man can must accomplish in his life

As wonderful dreamers who does never wake up
Try to eat living stone and changing the future
I believe in love, but in first thought, I must leave
No more trouble, free from my chains. Wait for me, please

Don't lower down our guard or weapons or ours arms
Dominate all our fears, never not run away.
Learned from our mistakes , fight the torpidity
believe the present day before love the next night

Great powerful mind, .Proud gaze and head up high
Blow your strength and your motivation all you can
cause you are a motivator , you find  delight
And  yet you known,You are yourself a big man.

Other  a factor outweigh the reason in the sky
Let's cover our hopes against those who devour them,
We should therefore rejoice what we have today
Do what we love for  diffuse our joy to our days

So…Bomb the burning passion to quell the hatred
Spread his knowledge to those who know, without forcing
say nothing to those who already know all things
Love expand and shared. Strength power are in us