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lundi 30 janvier 2017

Les "Cansa-gentes"

Livre 2 ; Dagaz


Les Cansa-gentes

Oyez ! Mes amis soyez prudents à vos jours !
Voyez ! Car l’ennemi n’est pas un fan de nuits
Mais s’attaque depuis que l’amour est amour
A la base même de tout ce qui est vie

Plus tard le soir quand l’astre suprême s’endort
Arrive alors la guérison de l’inconscience
Car rien , oh rien , dans tout l'univers n’est plus fort
Que l'expansion born-again à la survivance

Lorsque chaque matin rode à notre entourage
L’ombre de ces vampires de nos énergies
Vautours qui pompent la moindre part de courage
Rapace ou Etre qui ne se complaît qu’à lui

Ces quidams sans vergogne, sèment la noirceur
La souffrance et la tristesse sont leitmotivs
Leur action tout le jour durant ; fatale mort
Détruisant ce qui est joie et bonheur de vivre

Ces djinns à l’apparence humaine sont diaboliques
Et râlant sans arrêt, injustice et douleurs
Avec leur façade bon-enfant, sympathique
Rendent pâle de haine la Terre et les fleurs

Telle une confiture faisandée de pleurs
Ils sort d’eux,bien sûr, que de funèbres palabres
Et sur leurs tartines de frustrations d’erreurs
S’étale la misère du monde macabre

Le soleil se couche, le calme récidive
La lune rassure de ses rayons magiques
Et pour quelques temps redonne en définitive
Reboostant un peu de sa chaleur magnifique

Attention mes amis l’aube va se lever
Il convient de rester entier et sûr de soi
Les suceurs du désespoir sont là, déjà prêts
À détruire tout ce qui a fait votre foi

Gardez une place pour un peu de mystère
Gardez la force de ne pas abandonner
Car il n’y a pas plus ardu combat à faire
Qu’un rival inconnu, qu’un duel sans épée

Dans notre cœur, ayons, oui, une joie sans fin
Et toujours une aussi à jamais pour sourire
Ayez enfin un espoir pour nos lendemains
Et plein d'amour à recevoir et à offrir...

lundi 9 janvier 2017

empathie

livre 3  : Othel


Empathie


Les rhéteurs aguerris feraient mieux de se taire
À vouloir à tout prix protéger leur impair
Paré d’un bouclier antiparasitaire
Certain content hautain en perte de conscience
Défaut parfois d’un faux pas de l’intelligence
Début d’espoir exutoire à l’intolérance
Futil’ pensée, stérilet à la transcendance
Partageons l’empathie à ceux qui le mérite
Et ces essences belles qui les émérites
Hémisphère inquiétant’ qui perturbe les loups
Le bien-être s’apprête et se dose avant tout

Jamais ne se prête mais s’offre sans effort

Naïf, trop pur trop bon, trop con, c’est ce qu’ils disent
Pourtant est-ce vraiment un apophtegme en crise ?
Mieux qu’un mot flegme, un aphorisme qui défrise
Tu parles comme un orateur sans ambition
Ton bagou assuré n’expliqu’ pas tes actions
Tu pavan’  en tribune mais demain…qui sais ?
Rien n’est acquis ni pour toujours, ni à jamais
La bonté, vertu obsolèt’ devenu floue
Cette lueur inconnue pour ce règne de beaux
Portion de compassion qui en fait un atout,
Ne pas aimer c’est mourir d’une âme en morceaux

Les vainqueurs ne sont pas ceux qui se vantent à tort

De certains serai-je  bizarre ou bien curieux ?
Fumiste étrange, pacifiste et mystérieux
Est-ce un erreur pour les autres à être joyeux ?
Jalousie, cupidité, avidité, envies nauséabondes
N’ont jamais possédé mon corps ou mon esprit
Je souhaite à tout le mond’, tout le bonheur du monde
La Fierté ou l’extase, la joie  d’être heureux
Fierté d’amitié pour ceux qui  réussisse
Extase à ceux qui réputation bâtissent
Joie à qui arrive à vivre de sa passion
Heureux pour les heureux pour aucune raison


C’est pourquoi je suis fier, c’est pourquoi je suis fort

mardi 20 décembre 2016

Song for thou (Love Poem)

livre 3 : Othel



Song for thou 



From shadow to light,
From treasure of  first honey
The depths to the heights,
What a perfect date
You give meaning to my life
And that make me like to exist
You give me energy,
Sweet dove and vitality to persist
You…
Who make me, love the word “Love”

I like to be with you. Only in your arms, that I am what I am.
I love you.

Your warmth reassures me,
to stay against your body
You make me heart melt
and revive the flame of my soul
I’m coming to woo you,
approach of me, and come on here my love
Your presence is never enough,
 she cheering up all my days
You…
Brighten up my way

I like to be with you. Only in your arms, I am what I am. 
Just I say, I love you

Make me feel King.
In you, I feel like living
I’m drunk of to feel you,
There is only you and me, us two…
You make me a better,
Stay and I will be yours forever
You who make me grow…now,
You know who how….
You…
To extract love in the love

I like to be with you. Only in your arms, I ‘m who I’m.

And this song is for you.

lundi 5 décembre 2016

automotivation

Livre3 : Othel


Auto-motivation


On devrait se contenter de ce que l’on a
À travers l’union d’oligarchie des médias
L’être humain devient un pion, un méga jouet
Embrasé pour étouffer la juste raison

Il faut apprendre à voir, ce que l’on ne vit pas
À penser autrement, pas comme saint Thomas
Évite les parasites et les fatalistes
Alimente l’espoir,  et surtout soit vivant

Provoquer si si prête, l’envie passionnelle
Autre jeu pour autre âme , sans peur des duels
De lames à ancrures, de troupeau à fourrure
Parce que vous êtes quoique ce qui vous blâment

Active ton pouvoir, aie la foi, devient Roi
Apprends de tes erreurs, confiance et tu seras
Ne baiss’ pas ta garde, ni les arm’, ni les bras
Génère le mot croire et laiss’ parler ton cœur

Étale ton savoir, réel forc’, dur à cuir’
À tous ceux qui l’ignorent : que c’est bon de sourire
Mais cache tes atouts à ceux qui savent tout
Et cache tes espoirs, à ceux qui les dévorent
                              
Toujours en assurance, de ce que l’on est…
C’que l’on ne connait pas  le cerveau le connait
Adaptées tu vaincras sans forcer les dangers
En toi est la puissance …ne la retient pas

Demain cyber-informatique ou insensé
Obtenu à la haute,  tout ce que vous pouviez
Pierres d’artifices vivantes ou croupissantes
Unique ou leader d’un optimiste sans faute

Dans un sursaut de génie, on sait à se réjouir
Rêveur non en éveil ou craignant l’avenir
Honte d’avoir des sentiments, avant-gout d’avant
L’amour se démultiplie…, de bouche à oreille

Laiss’ partir tes larmes et  tout semblant de démons
Rebelles accentués bombardés de passions
Minimise tes peines et libèr’-toi de tes chaines
Illumines tes soirs, tes nuits et tes journées

Perdre combat épique, n’est pas fatalité
Pour vaincr’, faut s’entrainer. Encor’ Recommencer   
Ne fuis pas et bats-toi. Crie fort, motive-toi
Car vous êtes, ce que vous avez mérité

Envole-toi par procuration comme une colombe
Domine tes peurs, relève-toi si tu tombes
Reste fidèle à toi-même, fait c’que tu aimes
Ramage  de corbeau, peint de tout’ les couleurs

Remontée du désert,  fier de lever les yeux
Éternel insatisfait ou chevalier courageux
La vie est un combat, souvent on ne peut pas
Échapper à la guerre pour avoir la paix.

Ou on ne le veut pas,  à chacun son excuse
Défense avec chaleur, très honnête ou en ruse
On voit le bon ou pas, ou froid sans foi, ni loi
Mais tu avanceras… pour bien d’autres facteurs...




mardi 29 novembre 2016

para mi "Pépé"

Livre 3 :  Othel


Algunas palabras de tu artista


En mi cerebro, un estribillo
Canta camino que no existe
M’ gustaría poder decir: Te amo
Antes d’apagar la luz que fuiste

En mi cuerpo siendo una joya
Contiene lo que tengo para ti
Habría querido que llevaras
Est’ tesoro escondido en mi

En mi corazón vuela un’ ave
Con los colores de eternidad
Brilla en la noche estrellada
Tan hermosa, creo que te gusta

En ti alma navega un barco
yo querido te acompañarte
Pero tu barco se fue discreto
Antes de que no pueda hablarte

Tú estés en país de mil sueños
En el mundo de los libertados
Prisión mi alma, me deteriora
D’ tu presencia desaparecida

En mi cerebro, un estribillo
En mi cuerpo siendo una joya
En mi corazón vuela un’ ave
En ti alma navega un barco

.

lundi 28 novembre 2016

Amour facile

Livre 3 : Othel


Amour  Facile


Dieu, Jah, Tata Nzambé, Ge ou Ré
Ce qui est donné, nous le gâchons
De Zeus, Jupiter ou Apollon.
Tout’passion d'obsessions entachées

Zouk lento pour zouk love et passion
L'acte sexuel, plaisir innée
Que le cœur délivre sans raison
Quand la tête conjugu’ l’imparfait

Gaïa, Phyléa ou Asmodée
Aimer est un don usé souvent
L’esprit s’effac’ face aux sentiments
Las ! C’est là qu'ils devraient vigiler

Des « je t'aime » pour toute la vie
Bébé, Darling, Baby, ma chérie
Facile à dire et à balancer
Régression de folie aliénée

Mots du cœur, éphémère d’une nuit
"Amour de ma vie, amour-toujours
Querida, amour de mes amours
Mots douceurs d’une liaison au lit

Fini les mythes et divinités
Oubli l’ paradis sur les nuages
Séjour inadapté et sans âge
De l'enfer d’insolents révoltés.


mardi 1 novembre 2016

Evidemment

Livre  3 : Othel



Évidemment…


 Ben maintenant voilà, c’est bête comme chou
C’est évidemment pas plus aussi noir du tout
Car j’ai compris l’état de la page blanche 
C’est pas…non, ce n’est pas un manque d’inspiration
Ce stress qui vient de soi, trop plein d’excitations
De mon ego lambda, poète du dimanche

L’art passionné acoquiné à la passion
Enn’mi  juré, inconcentrée concentration
Les éternels coups de foudre de bel amour
Démentiel rut en poudre des plus beaux jours.

Vouloir tout satisfaire et tout en même temps
Au lieu de moins en faire et en avoir autant
Deux milles caractères, une seule ligne 
Quand tout s’accélère, l’inverse conséquent
Panique délétère à tout traiter d’urgent
Réduire tout dictionnaire à un seul signe

Théologie, philosophie, tout style épart
Exothermie de l’Éthérie, tous les savoirs
Érudisme qui se dégonde, en dix secondes
Au tragédisme immondes des choses du monde.                                               

Ce n’est pas que la jalouse est lâchée son poste
Mais plus tôt l’andalouse a invitée par post
Toutes ses copines à un’ rave dans ma tête 
Stop ! Une seule là, me suffit largement
Eh, c’est qui le patron. Non mais oh ! Non vraiment
Bordel psy sans nom, souk d’égérie en fête

Un amusement multi-connexe dans un complexe
Hallucinant !  Un réseau pur stress à mon cortex
Pour commencer, ouste allez ! Dehors mesdames
Déconnecter, il faut cesser tout ce vacarme.

Reprendre chaque idée avec de l’attention
Puzzle à replacer, voilà la solution
Et rester appliqué, vivre avec ce qu’on a 
Pas ce que l’on voudrait. Dans sa vie agir au lieu
De lui courir après, déjà, c’est beaucoup mieux
Et classer ses fichiers, un projet à la fois

Dans ce dessein où finit l’un, naît l’épigone
Dans le certain but qui se tient. Diam de carbone
Brique après brique, lentement mais surement
Stress défait, stress perdant, à bat le lapin blanc. 

Un polar qui s’altère en nouvelles imbriquées
C’est une pièce de théâtre dont l’idée
Se perd et sert de guide à l’intro d’un roman 
C’est écrit, tout est là mais rien n’est à sa place
Noyé de création, bestioles de l’espace
Capharnaüm sans nom, textes se mélangeant

Avoir un blanc, sauter l’instant, perdre parfois
En même temps, c’est énervant, tout à la fois
Où l’ai-je mis ? Plusieurs P.C, clés U.S.B
Où est l’écrit qui le dernier fut corrigé ?

Phobie du déficient, sûrement dû à lui
Ce gibier insolent qui taraude l’esprit
Lorsque l’inspiration parvenue s’est perdue 
Et que l’imagination  s’est enfuie sans bruit
Rester en extase et stoïquement assis
Écrire une phrase et puis bloquer dessus

Sans intérêt,  mot dénué de sa valeur
Sans s’expliquer, être vidé de sa chaleur
Mais sachez bien ; que même avec et sans raison
Fastueux, le cœur plein, on n’en a pas l’air moins con.

Affamé d’idoles et d’ Hi-Tech technologie
On kiffe sur les symboles du dernier cri
Acheter des gadgets, qui n’ont pas d’origine 
Collection obsolète au bout de trois semaines
Outrecuidant d’acquits dont on a joui à peine
Étagères remplies de ces appareils « in »

Être à la mod’, saisir les codes être à la page
Quand la commode déborde, c’est gaspillage
Des caprices si obsédants, finalement
Perle de vices générant un océan.

On n’a pas la mêm’ vie, on ne naît pas égaux
Il y a nos envies contre nos idéaux
On pense que l’on a une opinion sur tout 
Et que l’on sait déjà voir tous les silences
Il n’y a pas un vrai qui cach’ son inscience
Le sage reconnaît qu’il ne connaît pas tout

Et tous ces rois qui nous laissent quelles richesses ?
Nous, ceux d’en bas. Ces castes en laisse à deux vitesses
Sont légions. Ces chefs à plastron sont dans le faux
Pourquoi sinon des religions servent de tombeaux ?