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mercredi 21 août 2019

J'aimerai


L’invisible dont on tait le nom …

J’aimerai que l’on accorde de l’attention, qu’enfin quelqu’un me dise à moi qu’il me croit
Faut connaitre l’ennemi dont il est question, au lieu de cacher en silence le coupable
Il n’est pas ici de débats de religion, refreinez donc vos critiques théologiques
Il s’agirait d’ouvrir les yeux de sa raison pour acquérir plus de compréhension logique

J’aimerai que la vérité éclate enfin, car Dieu n’est pas un initiateur de malheur
Il n’y a pas d’avenir certain, c’est certain quand on quitte la protection du créateur
Géniteur de la vie, essence bénéfique, amour inconditionnel de l’amour donnée
Amidonné de présents à faire en pratique, c’est un don du ciel que de donner sans compter

J’aimerai que mes disparus soient encore là moi aussi. Je crache sur le Diable le malin
Jamais, je baisserai ni l’échine, ni les bras pour balanstiquer ce monstrueux assassin
La vie est un combat, duel au quotidien. Le mal contre le bien n’est pas utopique
Il y a trop de pleutres angoissés et malsains pour dénoncer bien haut le malin satanique

J’aimerai faire entendre ma foi, ma croyance, celle que Dieu n’est pas de celui qui défait
J’aimerai que l’on croit ce que pense ; le diable est là dehors préparant ses méfaits
Cette entité, oubliée à tort, est mesquine, toujours vénérée par quelques illuminés
Ceux qui l’encense sur ce chemin de ravines ne resterons bientôt que les yeux pour pleurer

J’aimerai bien faire comprendre que nos pleurs n’ont qu’un seul coupable, nommé Diable ou Satan
Ce n’est pas le même qui réchauffe nos cœurs. Dans l’ombre de son silence, il joue l’innocent
Cette invisible entité aime faire souffrir, le jour ou la nuit, à chaque instant, tout le temps
Toujours présent pour salir nos joies et nos rires, c’est le mal qui de part ce monde se répand

J’aimerai ne plus voir, lire ou entendre : "pourquoi, Dieu, pourquoi tu as autant de destructions ?"
A chaque seconde, le pauvre se débat, pour nous maintenir contre lui sa protection
A chaque être qui a perdu sa foi en lui, car on préfère ne pas parler de démons
On se terne et le malin dans l’ombre sourit, car c’est l’invisible dont on tait le nom …

mardi 9 juillet 2019

Démission


Démission

Trop de gens dans l’entourage professionnel
Sont des hypocrites, faux-culs aux allures d’anges
Trop de gens sont dans ma vie soi-disant sociale
Moutons béats, sycophantes tremblant de peur

Des ondes négatives circulent dans ce panel
D’emmerdeurs qui ont acquis une aura étrange
Faites de caprices et de frustrations parentales
Des psychorigides qui se croient supérieurs

Des collègues cherchent une carrière, une échelle
Ceux qui n’ont pas compris ; les gueux dérangent
Et ceux qui se comportent comme des animaux
Qui voudraient du respect avec si peu d’honneur

Trop d’être mesquins et vils entachent mon ciel
Beaucoup trop à mon gout, il est temps que ça change
Adieu, cul de basses fosses, saluts cordiaux
Adieu, il est temps de retrouver le bonheur




lundi 4 mars 2019

Alea jacta est


Alea jacta est


 Zieut’ ton phone, on se tweet en prose
En WhatsApp ou même en Insta
Pour étaler des tas de choses
Sans vraiment savoir pourquoi
Pour passer le temps ou la fièvre
De nos adynamies du soir
L’ennui formaliste lève
Le prosaïsme du hasard

Mais on excelle à partager
Tous les jours des « je t’aime et toi ? »
Sur réseaux, sans savoir pourquoi
Autour de soi, on ne le fait pas
Dans notre pouvoir de réserve
On amignonne son éclat
Les limites nous desservent
Et seul, on s’isole à l’écart

Séparer le faux du vrai, oui
Vrai-virtuel, etcetera…
Une éternelle psalmodie
Ceux qui n’ le reconnaissent pas
Où sont ceux devenu sans verve
ceux qui auraient dû être hagard,
La new génération révèle
Une force qu’ell’  connait pas

Certaine chose jamais changent
C’est étrange mais c’est comme ça
C’est comme parler à un ange.
Gardien cet ange ou p’t’être pas
C’est porter une minerve
Ou des œillères anti-égards
A la lueur du jour qui s’ lève
Tu veux savoir comment ça va ?

Sans notice ni manuel
Ni vraiment de mode d’emploi
Fixant des règles rituelles
Pour vivre mieux, enfin je crois
Aux penseurs, il suffit d’un rêve
Aux rêveurs, il suffit d’y croire
Il n’y a jamais eu de trêve
Dans tous nos quotidiens combats

Il y a bien des protocoles
Quelques avis par-ci, par-là
De quoi usées nos âmes folles
Des dégâts de nos faux pas
La fatalité nous achève
On avance dans le brouillard
On croise ceux qui se relèvent
Et ceux qui ont baissé les bras

Classe, confiance et dignité
Pour tous, pour celui qui y croit
Grace à notre dextérité
Vouloir faire le bien ou pas
Il faut préserver sur nos lèvres
La doxologie de l’espoir
Quand d’autres esprits nous desservent
Mêm’ dans le moindre de nos choix

Dans les limites du moral
On se croit d’être ce qu’on doit
Ce qui ne te tue pas en général
Te rendra plus fort, c’est bien ça ?
Et l’autre ; "Ou tu marches ou tu crèves"
C’est plus ; "Ou tu restes où tu pars"
Si t’es pas content va en grève
Ou alors subit mais tait toi

Court-on vers notre liberté
Quand on est gêné par ses choix
Être un modèl’ d’intégrité
Sans choir dans la paranoïa
Nos sagacités sont si brèves
Sans l’bien-fondé de nos cauchemars
Relent d’insurgé qui s’élève
La vie est zone de combat

Soif de justice, honnêteté
Et d’intégrité parfois
Équité, mieux qu’égalité
On devrait combattre pour ça
Qu’a fait le maitre à ses élèves
Pour faire dans leur têt’ tant d’escarres
Moins d’instincts dans leur esprit mièvre
Pour plus d’abus et de passe-droits

  
On s’entiche du bout des lèvres
Le doute, la peur empêchent l’espoir
On s’en fiche et tout nous énerve
Parce qu’on ne se comprend pas
Advienne que pourra …

samedi 2 mars 2019

J'ai écrit...


Ce que je suis…

J’ai écrit des chansons, j’ai écrit des poèmes
Surfant à l’horizon, plages du paradis
Inspiré sur leur grève, sables des égéries
Emplit de mes doux rêves remplit de gens qui s’aiment

Où mon esprit abscons dévoile ses secrets
Un peu comme un plongeon dans la mer idéelle
L’utopie crie aux sourds et l’âme se révèle
Ce bel espoir qu’un jour où règnera la paix

J’ai narré des romans et aussi des nouvelles
Pleines de sentiments et des histoires d’horreur
Avec l’inspiration des cauchemars d’ailleurs
Des connexions d’actions, néant spirituel

Entre peines et rires, d’une muse à la Terre
Cette passion d’écrire, passionné résistant
C’est écarter les bras et oublier le temps
Harmoniser son moi, message à l’Univers

Parce que l’écriture, c’est comme de la danse
La désinvolture semble arborer l’esprit
Et nous accaparer entre effort et folie
Une folle épopée encombrée d’insolence

Parfois je pleure aussi en chantant des chansons
Quand je gratte ma vie en blues, en vers, en prose
Sur guitare acoustique. Eh bien oui, je compose
Electrique ou classiqu’. Le dir’ ça à l’air con

Pourtant avec elles, quand leurs refrains m’entrainent
Ça semble irréelle car les doigts s’abandonnent
Ça slide sur le manche et quand le bon son sonne
Amen. C’est dimanche, tous les jours d’la semaine

Imagine la planète où tout serait « joie »
Je suis naïf, peut-être un rêveur étourdi
Quand je pose ces vœux sur feuille ou sur ordi
Plus d’équité, c’est mieux. Que des reines et des rois

Et puis du théâtre, humour en vaudeville
Parce que c’est la vie, le contrôle de soi
Parce que le rire, nous délivre parfois
Et un seul sourire alcalinise la bile

Avec ou sans costum’, des masques blêmes aussi
On cache sa nature pour garder ses secrets
Sans perdre une seconde ou pour se protéger
Se cacher du monde, fuir ou tromper autrui

Le bien-être, ce graal, essence d’amour
Arsouillé au final par ce coquin de cœur
Le soleil caresse nos sybarit’ de corps
Lui, toujours en liesse pour faire briller nos jours

Des penseurs bonasses dont affable, un peu fou
Poèt sagaces ailé, il y en a beaucoup
Non, je n’ suis pas unique et je n’ suis pas le seul
Mieux vaut être utopiqu’ que pas penser du tout.

jeudi 28 février 2019

Crédule ou cupide

Crédule ou cupide


Dans la vie, soit tu es crédule
A moins que tu ne sois cupide
Du genre le machin bidibulle
Ou plutôt dans le genre stupide
Mais tu sais, apprendre à se taire,
N’a jamais arrêter les guerres
Et bien sûr, apprendre à les faire
N’a jamais été mieux, non plus
  
Vouloir de l’argent à tout prix
A l’encontre des sentiments
Noircir son cœur pour du profit
C’est perdre l’âme pour du temps
Se donner le style innocent
C’est s’enfermer dans une bulle.
Naïf sans en être conscient,
 Ce n’est pas terrible non plus

L’action définie qui on est
Plus que la meilleure intention
Plus que la meilleur’ des pensées
Elle est la détermination
Le doute fait l’hésitation
Il n’est pas toujours négatif
L’angoisse empêche d’avancer
Quand croire en Dieu ne suffit plus…

mardi 19 février 2019

Préface de "intégraal"


Préface : 

De temps en temps par période, je m’inquiétais de ces trous noirs de l’inspiration. La page "blanche", alors je me demandais souvent pourquoi et comment mon inspiration disparaissait ainsi. Ma muse se jouait-elle de moi ?
Cette angoisse qui est là, tous les jours, de ce que nous avons été, seront et sommes toujours, traumatisés par cette affreuse bestiole et son horloge autour du cou, cauchemar de million de citadins, cauchemar du :"J’ai pas le temps".
« écrire-penser-réfléchir-écouter-entendre-reproduire-lire-essayer-comprendre-aimer », tout mélanger, tout en même temps. Du calme…Respire lentement….
Je veux le voir cuire dans un immense chaudron et briser sa satanée clepsydre (sans eau) en morceaux. Fini le syndrome de Lewis Caroll pour redonner un sens clair à mes mots…Asta pronto
L’être humain, n’utilise pas son cerveau pour aimer ni son estomac pour respirer, par contre son cœur affamé court après d’inaccessible amours, d’irréels caprices sans valeur existentiel. Quel gâchis…Le temps, c’est de l’argent ? Et l’amour c’est quoi, alors ?
                        Il est temps de prendre son temps, d’équilibrer la synchronisation de nos ondes créatrices. Je vois et me lance plus serein vers mes projets devenu plaisir au lieu de supplice. J’ai compris, alors je prends tout mon temps, le civet en sera que plus délicieux et l’avenir plus grand. Car le bonheur est là, tout autour de nous, en nous. Il y en a aussi à ramasser tout le long de nos chemins. L’Harmonie est le plus beau de tous les desseins…
Dans ma tête, complexe tête, le lapin blanc est mort ce soir….

Aleluya…


mercredi 9 janvier 2019

Trapped in relationship


Trapped in relationship

There are hard times to live in life.
So that we need positive light
Everyone have this energy
 and we can share it around us.

When feels prisoner of wedding
Whose to tell? Anyone earing
When love and trust are no longer
Who to say? Anybody cares

Danger in love, heart no use
If the other is obsessed.
We tell you, ; “Shure? Don’t you abuse?”
 “do you complain? you are blessed”

No one care , apathy is rife
But she manipulates your life.
And break down all your relations
Without no exaggeration

Stay one object for the dwelling
There is nobody to talk to.
To hear:  “Yo  man, why you lying?”
And already you stay alone

When you have lost that energy
that you have shared around you
heavy dark, all is murky deep
There are hard times to live in life.