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lundi 29 janvier 2018

Cessation temporaire d'activités

I-Mannaz

C.T.A
(Cessation temporaire d’activités)

Loin des yeux, loin de toi mais pas du cœur, courage
Il est temps de choisir de te battre pour toi
Affronter ton problème, c’était le plus sage
C’est ta volonté de vaincre, c’est ton combat

Privé de liberté, derrières tes murs blancs
Pense que c’est juste une pause ou une trêve
Soit fort et serein et analyse tes rêves
Ta vie est paralysée pour un bon moment

Soit sûr que rien ne change pour moi mon neveu
Pas d’étiquettes et pas de perte de lien
T’es une bonne personne, quelqu’un de bien
Inch Allah. Rien ne changera ça grâce à Dieu

Y a pas d’Hommes parfait, il y a des erreurs
Ne te sens pas inférieur à qui que ce soit
Mais on ne nait pas avec un mode d’emploi
Si tu as besoin, je serais là à toutes heures

Reste idem, résiste et ne garde foi qu’en toi
Ton sourire, ta bonne humeur et ta présence
Ceux qui t’aime vont serrer les dents en silence
L’esprit est ta seule arme encore plusieurs mois

Mais ce choix t’honore, saine sera l’existence
L’ardoise effacée, tu rebondiras dehors
Tu es courageux et sûrement le plus fort
Crois-y comme j’y crois car j’ai en toi confiance

Tu n’es pas seul même si tu le ressens là
Écris, étudie, projette-toi dans futur
Ta solitude sera ton ami, sois en sûr
Profites-en pour en faire un atout de poids

Tu sais concrétiser tes projets d’avenir
Même si t'es seul dans ton espace de béton
Tu verras plus tard qu’in n’y a pas qu’en prison
Qu’on se sent meurtri, abandonné ou pire

J’attendrais en priant pour que tout aille bien
Ne glisse pas vers l’abime des opprimés
La premièr' des vertus, c’est de soi, le respect

Force, bats-toi et reviens vite près des tiens

vendredi 12 janvier 2018

le manoir

Mannaz; livre1



Le manoir


Elle s’est assise à côté de moi, je ne l’aie même pas vu
Elle m’a parlé si bas, je ne l’aie même pas entendue
Et plus tard je l’ai aimé si fort

Je t’ai peu parlé pas besoin de ça
Tu me prenais pour le héros ciné que je n’étais pas
Bizarre…

Dans ce manoir où je ne suis venu qu’un jour
Cueillir la rosée des parois de l’amour
Dans le manoir où je ne suis allé qu’un soir
Découvrir les sensations d’espoirs
Dans le manoir où je ne suis entré qu’une nuit
Prendre des leçons sur la vie
Collé contre un mur. Je garde ton parfum en moi
Un océan de sueur qui coule encore mais pas avec toi

Tu t’es assise à côté de moi, je ne t’ai même pas vue
Tu m’as parlé si bas, je ne t’ai même pas entendu
Pourtant, je t’ai aimé si fort

Et puis tu t’en va sans savoir où …rapidité insensé d’un week-end
À écrire the end avant la fin, d’éteindre la lumière en un éclair.
Mystère…

J’ai ouvert le coffre de ton secret, de ton trésor et depuis, j’en ai même oublié ton prénom
Quand tu es partie, tu as ouvert dans mon cœur, une blessure qui ne se ferme pas.
Qui ne s’efface pas…

Dans ce manoir où je ne suis venu qu’un jour
Cueillir la rosée des parois de l’amour
Dans le manoir où je ne suis allé qu’un soir
Découvrir les sensations d’espoirs
Dans le manoir où je ne suis entré qu’une nuit
Prendre des leçons sur la vie
Un océan de sueur
Collé contre un mur.
Je garde le parfum de toi en moi


Dans ce manoir, où je ne suis jamais …revenu

mercredi 10 janvier 2018

préface générale de l'intégraal

INTEGRAAL preface




Préface Intégrale



« I’m coming home, tell the world I’m coming” ;… magnifique chanson, elle exprime assez bien le ressenti actuel de ma vie. Un petit retour à la source et ce besoin de regarder en arrière, de s’assoir un peu et de faire le point. Avec " Man " par exemple, ce petit recueil sans prétention que je m’étais amuser à faire imprimer (en 2011) à compte d’auteur. Pour l’intégraal, je lui ai rajouté « le voyageur » qui fait partie des premiers poèmes que j’écrivais à l’âge pré pubère. Il y en eu d’autre mais je ne pouvais pas tout mettre dans cet ouvrage  car je voulais respecter le plan structurel des trois keepsakes réunis. Avec " Dag " et "Othel ”, ils forment un ensemble assez complet de ces 33 dernières années de ma vie. Il y en aura d’autre (j’espère) mais pas tout de suite. Je reprends la guitare et les morceaux après près de quinze ans d’abandon de toutes mes passions, ça a été le chemin de la mélancolie, (depressive road), la traversée d’un désert sans fin. Heureusement dans la vie, on rencontre de belle personne qui vous illumine et vous réchauffe le cœur. Pour la guitare, ça commencé avec Sarah, qui m’a ouvert la voie (et la voix)  et fait découvrir la guitare folk. Une porte ouverte et un chemin à prendre. Je vous passe les détails, car il y a eu d’autres personnes « phares », de belles personnes qui ont éclairé mon chemin mais ça serait un peu long de tous les décrire. On arrive en 2003, la naissance de ma fille, ma princesse qui m’a redonné gout à la vie. Même si sans passion, la vie ne reste qu’un brouillard plus ou moins épais.
L’étincelle s’est rallumé de deux façons différentes, une pour l’écriture, 2012, double fracture « tibia-péroné ». (C’est ça de vouloir faire du surf en hors-piste à 3000 mèt...quoi ? Comment ça ne s’est pas crédible? La vérité ? Okay…Dans ma cuisine, tout seul,  pieds nus… un petit Twist). Immobilisé cinq mois, reprise de vieux projets, dont « le 7° élément », écriture et recherches m’ont amené à plus de 500 page d’un roman de science-fiction, publié en premier lieu aux Éditions Persée (2013).
Pour la musique c’est sur internet que j’ai trouvé « Masterclass’school » des cours de tous style pour tous niveau. Le cours ? « L’Art de la performance », mon prof? Usher... The big Usher
Oh, yeah…
Pourquoi la performance ? Pour résoudre un problème de timidité handicapante qui m’a enfermé dans une bulle très, très longtemps. Grace à cette école et à cet artiste brillant d’ondes positives, je renais. Ma vie semble commencer à 45 ans. Et depuis je ne cesse de dire  à tout le monde et à ceux qui veulent bien m’écouter que l’étincelle de la passion n’est jamais vraiment éteinte que tous, nous devons gardons l’espoir de réaliser ses rêves. Il n’est jamais trop tard pour s’y mettre.

« Vivre sans amour, c’est mourir d’une âme en morceau »

Merci d’être là, soyez toujours vous-même, réalisez vos rêves, portez vos passions à vos lèvres …  

Je vous aime ….



Dédé




jeudi 5 octobre 2017

Mindelo

livre 3 ; Othel


Mindelo

Le temps est différent ici
Tant de maisons sont si jolies
Et des constructions aux murs gris
De cell’ qui n’sont jamais finies
Blocs de béton au paradis
Et dans ce bourg où la joie sonne
Au bruit des tambours qui raisonnent
Ville ou l’amour enorgueilli
Aux rythmes sourds de l’euphorie
Ainsi, aussi que va la vie

Envoutés par le son des guitares
Kuduro Batuk , Coladeira
Du Reggae-Pop-zouk au Funana
La Morna, le blues ou kizomba
Tout est bon pour amener la joie        
L’intention est celle d’égayer l’âme
L’attention si belle plait aux femmes
Chants éternels, où renait l’espoir
Eden d’archipel, berceau des arts
Au lointain le regard qui s'égare

Lune éveillée à la vive clarté
Sur sable fin affable feu de camp
Une coudée au moins depuis l’océan
Félice refrain emprunt par le vent
Délice d’embrun au salé relent
Un air joyeux chante aux stances enjaillées
Lueur troublante de notre veillée
Mœurs indécentes des moiteurs d’été
Heur’ couroucées d’un ressac encaissé
Douceur insensée sans cesse incessée.

mardi 3 octobre 2017

livre3 : Je voudrai que tu saches

Livre 3 : othel

Il faut que tu saches

Sans cesse invisible et te suivre tout le temps
Chaque instant savoir où t’es, partout être présent  
Mais il faut bien lâcher du lest… Je sais Je sais,
Pour que tu puiss’ t’envoler vers ta destinée
Aussi sûr que ton chemin t’éloigne de moi
Aussi loin que l’azur, va mais ne m’oublie pas
Je prie, j’ai confiance en Dieu.  Tu es dans mon cœur
A l’infini ma priorité, mon bonheur

Et pour cela je voudrai que tu saches :

Là,  parmi les Hommes,  des bons et des pourris
Un équilibre en somme, Un monde en eurythmie
Harmonie entre inclémence, et bénignité
Stoïcienne démence entre bien et mauvais

Tu traverseras des sentiers emplit de haine
Des gens sans loi aux sentiments remplis de pus
Des sots qu’en ont pas l’air, des fous et des tordus
Apprend à t'en défaire, ils n'en val’ pas la peine

Je voudrai que tu connaisses la différence
Entre férins impurs qui te disent t'aimer
Et les vrais aux cœurs purs, cultive cette chance
De distinguer l’improbe de l’honnêteté

Tu trouveras dans tes amis ou ta famille
Des jaloux, des envieux fielleux et des méchants
Aucun quidam n'est à l'abri, crois-moi ma fille
Car on ne choisit pas vraiment ceux de son sang

Les décisions sont dur’ à prendre dans la vie
Ne t’inquietes pas, et suit le chemin sans peur
Vois, tu n’es pas seule. Autour, ceux qui t'aime aussi
Pourront t'aider à défendre un chemin meilleur

Tu trouveras tant de cons pour autant de bons
Des victimes qui troubleront ta force à juger
Et des gens que tu aduleras sans raison
Gardes toi bien de toujours t’en immuniser

Tu rencontreras sur ta route, des amis
Et des individus qui te feront briller
Parfois d'inconnus nait une brillante magie
Aussi des rencontres du passé retrouvées

Aucune notice ni de mode d'emploi
Juste des subtils conseils qu'on peut te donner
Cultive la compassion et beaucoup de foi
Protège-toi des autres sans trop y songer.

Retiens que tu es ce que j'ai toujours souhaité
Si malgré tout quelqu’un, un jour t'en fait douter
Ecout’ ton palpitant, il saura te montrer
L’’amour, la tendresse que je t'ai apportée

J'espère être bon père, enfin pas trop mauvais
Las ! Mon côté pyrrhonien, ça date pas d'hier
Je fais au mieux et le ferais à tout jamais
Tu es ma perle, ma princesse et j'en suis fier

Je t'aime...

mercredi 12 avril 2017

J'ai jeté la clé

Livre3 : Othel



J’ai jeté la clé…


Une clé d’or pur parée de diamants
Coule en demesur’ dans l’océan
A profondeur de silence et d’indifférence

Enfouie même au fond de ma conscience
Amer de flatt’eries et d’obséquience
Porte fermée et visiophone débranché

Entrée pour toi, qui, toujours ouverte
N’est plus ,làs, qu’un désir obsolète
Est devenu blindée , triple sécurité

La mémoire vide, et l’âme usée
Vertu rance sans fin, sans patience
Le destin décide ceux qui seront défait

Loin en pensée et de mes amis
Qui m’entourent,tu en es banni
T’es un vague passé de doutes et regrets

Une seconde, juste un instant
Un lien, une affection, quelque part
Comment ai-je pu y croir’, venant de ta part ?

Bataille vaine et mise en avant
Après tant d’efforts, d’acharnement
Cause perdue d’avance, farfelue démence

Le corps fatigué et le cœur lourd
Pas de glas au clarté de l’amour
Que des mots incompris dans l’affre des non-dits

Ton obsession est d’aller là-bas
Ta vraie passion ;  ne penser qu’à toi
Ton ile rayonne, tu n’dois rien à personne

On est aveuglé plus que naïf
Idiot fasciné, j’en suis fautif
On s’redonne une chance et ça n’a aucun sens

On régresse pendant qu’ on avance
On se blesse à travers l’insouciance
A persévérer alors qu’on devrait cesser

La mémoire vide et le cœur lourd
Amitié ,si vide sans retour,
Feu si cissible faisant briller l’impossible

Qui c’est qui peut oeuvrer sans bravoure ?
Relation ratée, nuit apres jour
Voie à sens unique qui en devient cynique

Toi sur un piédestal ; une erreur
Sauf qu’on est égal,  à même hauteur
Mais le mal est fait, pas la peine d’instister

Plus de riens que d’ rires, présentement
Meilleur rendu pire avec le temps
Juste un bien pour un mal, rien de plus au final

Le corps fatigué et l’âme usée
Qui se traine en silence sans gré
Quand  le soupir souffle, les tensions nous étouffent

Fait ton odyssée,  prie un miracle
Te fair’ pardonner, faut que tu racles
Croyant au parfait que tu ne seras jamais

Tes secondes chances répétées
Du monde qu’tes mensonges ont crée
Mais l’ cœur n’est pas un objet, il sert à aimer

Dommag’ certains ne comprennent pas
Se noient en vain, dans leur orgueil froid
Hardi de stoïcisme de leur égocentrisme


Un jour et si la sagesse veut bien de toi
Tu sauras que la liberté, l’indépendance
N’sont pas antonym’ de fidéle et dévoué.
Tu sais, tu  ne m’as pas seul’ment abandonner
Tu as trahi tout ce que en toi j’avais foi

On sera amis de loin, aucune différence

lundi 10 avril 2017

Animal totem

Livre3 : othel



Animal totem (Eagle free) 


J’ vais en dance, flirté…

J’ai posé ma main à plat sur la baie vitrée,
A l’extérieur Je vois  que rien n’est altéré
Je me demande aussi comment sera dehors
Quand j’aurai réussi  mon envol vers l’ailleurs
Peut-on se fourvoyer, à vouloir être vrai ?
Je sais à l’évidence que rien est acquis
En déjouant les sorts je peux briser mes chaines
Au surplus de la peine, qui je sacrifie ?
Avec aucun regret
…à fleur des mélodies

J’aurai aimé être un lion  fort et rugissant
D’une savane au ton  orange de printemps
Changer son hinterland, est-ce vraiment trop fou ?
Pour être heureux  et cesser de douter de tout
Comment fair’ quand on est un oiseau enfermé
On a qu’une vie alors tu peux bien brocarder
Pour muer ce "qui" on  veut à ce "qui" est on est
L’ridicule n’a jamais tué , il parait...
Début d’évolution…
affleurant l’insouciance…

Je vois derrière les barreaux de ma fenêtre
Ce que j’aurai voulu , ce que j’aurai pût être
Trop aimer ce que l’on désir, fait-il souffrir ?
Croire en ce qui est bon, cela va-t-il suffire ?
À trop réfléchir , gâche-t-on notre avenir
Monotonie usée, métro-boulot-dodo
Dans la bull’ de confort où l’on survie sans joie
Plus qu’a reprendre la guitare et les morceaux
Si je trouve l’accord
…des amours interdits

Mais est-ce là, le but :  Juste vivre à survivre ?
Sur quelle base on lutte ? Quel combat on livre ?
J’avance en silence , le cœur joint à l’instint
Je vis d’insouciance leger et incertain
Hello, j’arrive…Quoi qu’il arrive, j’arrive
De tous ceux en silence, au réel perdent pieds
Prisonnier d’mes rêves, chimères qui m’appellent
Toucher l’Éternel, moi,  je sais que je pourrai
M’balader sur sa grève
L’exotisme éveillé…

Effleurant mes lèvres  au froid de la déraison
Qu’une buée mièvre envahisse un espace rond
Ou j’ai écrit « HELP » à  l’envers de mon reflet
Dans l’espoir maladroit  que quelqu’un le verrait
Celui qui a peut-être, un remede au mal-être
Où cesse Arrogance quand on s’croit épargné ?
Ne pas regarder l’heur’ , ne pas renier son age
Il faut bien du courage y croire et espérer
Continuer sans peur
 …réveill’ l’essenc’ des sens


Devenir heureux ? Je commence maintenant
Désolé a tous ceux qui m’ont connu avant
Et n’aiment pas  les changements inatendus
Stop, n’insistez pas,  vous ne me retiendrez plus
Responsable de rédition,  certain me fuit
Le bilan est fini ; de ce qu’on a, c’est beau
Et toutes citations,  ces conseils formatés
Toutes ces belles idées de réseaux sociaux
Fake motivations
 Érotisme voilé...


C’est trop tard  aujourd’hui,  vous n’êt’ plus sur ma route
Par aucune crainte à  la force de mes doutes
Accès à l’aventure de ma destinée
Plus belle à laquelle,  vous vouliez m’enfermer
Lorsque j’aurai trouvé  les « cheats-code » à craquer
J’préfère l’indifférence à la méchanceté
Certains continueront à rire, à me haïr
Pharisaïsme au pire ; apathie résignée
J’vous offre le pardon
…de corps à cœur en cadence


Si j’y crois j’peux voler, péremptoire cerveau
" Tu vivras de tes souhaits " croass’ mes idéaux
Mais le plus important dans ce réal-life game
C’est le plus endurant qui sortira indemne
Les "believe" systèmes qui décroche les " j’aime "
Car la course au succès n’est pas le bon chemin
Tant pis pour moi mais ce n’est pas  dans mes "choice-goal"
Avec ma voix à deux balles Mais tant mieux s’il vient 
J’ lui ouvrirai les bras
 Car je me suis trompé

C’est inéluctable, je ne suis pas un lion
De mon for desservable en sortant  de prison.
Je ne serais jamais,  le fauve au pelage or
Vouloir me transformer, Je sais que  j’avais tort
La nature revient au galop, c’est certain
Discipline et règles me donnent des malaises
Le comment du pourquoi : Enfin , je l’ai  trouvé
Si  je me suis égaré, ne vous en déplaise,
Si je ne le  suis pas

C’est que je suis  un aigle.