Othel ; livre 3
Pourquoi ne pas relier, le vil coquin et la dévotion à la vaillance ?
Parce que d’aplomb, l'être humain, et de foi est ainsi fait
Parce que tous nos sens n'en prennent un que si on les connaît
Parce que tout bisse sans cesse et sans fin, tout recommence
Parce que sans s'hasarder ,à toujours ne s'éteint, la conscience
Pourquoi faire, le lien d'hymen à la blancheur ou à l’espérance ?
Parce que la raison, forcée même, ne doit pas être abusée
Parce que d'insistance, on aime aimer où l’on n’a pas pied
Parce que rien sans effort ne s'acquiert, construire,hein, malgré tout
Et même si aucune fichaise ne fini bien, malgré nous
Pourquoi ces brûlures d’espoir, de promesses en confiance ?
Parce que connexions-isoloirs sont nos soupapes anti-crises
Parce qu'on s'in-dispense de savoir de temps en temps lâcher prise
Parce que rien n'est plus beau que ces réseaux adultérins, virtuels
Et nous serons Béni-oui-oui, sûr, source d'amour, séraphins éternels
Parce que…
Parce que d’aplomb, l'être humain, et de foi est ainsi fait
Parce que tous nos sens n'en prennent un que si on les connaît
Parce que tout bisse sans cesse et sans fin, tout recommence
Parce que sans s'hasarder ,à toujours ne s'éteint, la conscience
Pourquoi faire, le lien d'hymen à la blancheur ou à l’espérance ?
Parce que la raison, forcée même, ne doit pas être abusée
Parce que d'insistance, on aime aimer où l’on n’a pas pied
Parce que rien sans effort ne s'acquiert, construire,hein, malgré tout
Et même si aucune fichaise ne fini bien, malgré nous
Pourquoi ces brûlures d’espoir, de promesses en confiance ?
Parce que connexions-isoloirs sont nos soupapes anti-crises
Parce qu'on s'in-dispense de savoir de temps en temps lâcher prise
Parce que rien n'est plus beau que ces réseaux adultérins, virtuels
Et nous serons Béni-oui-oui, sûr, source d'amour, séraphins éternels
Dédé Pastel
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