LG : Othila
Libre pensée : Aucune religion n'est parfaite
Libre pensée : Oui, la perfection n'existe pas
Peu importe d’où l'on vient , qui l'on soit, où l'on va
Mais arrêtons de véhiculer n'importe quoi.
On vit en équilibre à toutes heures , à tous instants
Que serait le jour, si on ne connaissait la nuit ?
On est plus libre, ivre d’être non-indépendant
D'abus qui peuvent tuer. Huer dans l'inconscient.
Seul tous les jours, de mes tours intérieures désunies
Solitude blessante qui hante mon esprit
Je ne suis pas philanthrope mais là c'est de trop
Démunis quand le vague à l’âme arme mon cerveau
Chacun son droit de prière, hier comme aujourd'hui
On a besoin de barrières, hier comme aujourd'hui
Les limites interdisent, disent les érudits
Chacun son droit de penser, pensées bonnes ou pourries
Toujours seul dans mes idées de désirs dérisoires
Las de croire en l'être humain. Maintes fois désespoir !
Naïf de natur’ profan’ , l’ân' bâté continue
D'avancer dans ce monde aux ondes très biscornues
Respect de soi, rester digne, signe de grandeur
Des autres le respect, c'est aussi avec le cœur
Gardons foi en nous-même, même si c'est drastique
Résister à l'enfer. Fer d' lance des fanatiques
Isolé, même entouré, outré de la froideur
De certains débats blessants. Sans sens, sans honte et sans fleur
Se retrouvent sur la toile. Étoiles de foi éteintes
Qui entachent le malheur. L'heure des douleurs non-feintes
Uni pour fair' face, face aux monstres en servitude
Soutenir en force, une entorse à nos habitudes
Dénoncer la barbarie, arid' de sentiments
Pour espérer un mond' sain, mondial rassemblement.
Seul dans la mélancolie colique de douleurs
Bercé de théories vain', haine a être un voyeur
A voir en spectateur, acteur d'une vie malsaine
Quand s' écoule le sang , s'en découle hors de nos veines.
Les guid' spirituel' , tutelle idéologique
Refusent le massacre, âcreté théologique
Condamnent le vol , mensonges, songes d'intérêts privés
Ne veulent pas le droit de mort, mort pourtant donnée
La plus terrible peur, heures des traumatisés
C'est l'horrible amalgame, âme encore bouleversée
Affreux mélange, échanger les victimes en bourreaux
De vouloir les bons punir, unir les vrais des faux
Se rassembler et partager , âgées comme jeunes
C'est diffuser de l'amour , de l'amour qui se donne
Est le principe important tant pour nous qu'a autrui
N'est pas un mouton bête qui ensemble s'unit
La bonté c'est l'élan du cœur et c'est merveilleux
Oublions ces insultes, ces non-peptiques à la con
Alors refusons les extrêmes de tous cotés
Car nous avons tous le devoir d'un monde à changer.
Ma libre pensée
Libre pensée : Aucune religion n'est parfaite
Libre pensée : Oui, la perfection n'existe pas
Peu importe d’où l'on vient , qui l'on soit, où l'on va
Mais arrêtons de véhiculer n'importe quoi.
On vit en équilibre à toutes heures , à tous instants
Que serait le jour, si on ne connaissait la nuit ?
On est plus libre, ivre d’être non-indépendant
D'abus qui peuvent tuer. Huer dans l'inconscient.
Seul tous les jours, de mes tours intérieures désunies
Solitude blessante qui hante mon esprit
Je ne suis pas philanthrope mais là c'est de trop
Démunis quand le vague à l’âme arme mon cerveau
Chacun son droit de prière, hier comme aujourd'hui
On a besoin de barrières, hier comme aujourd'hui
Les limites interdisent, disent les érudits
Chacun son droit de penser, pensées bonnes ou pourries
Toujours seul dans mes idées de désirs dérisoires
Las de croire en l'être humain. Maintes fois désespoir !
Naïf de natur’ profan’ , l’ân' bâté continue
D'avancer dans ce monde aux ondes très biscornues
Respect de soi, rester digne, signe de grandeur
Des autres le respect, c'est aussi avec le cœur
Gardons foi en nous-même, même si c'est drastique
Résister à l'enfer. Fer d' lance des fanatiques
Isolé, même entouré, outré de la froideur
De certains débats blessants. Sans sens, sans honte et sans fleur
Se retrouvent sur la toile. Étoiles de foi éteintes
Qui entachent le malheur. L'heure des douleurs non-feintes
Uni pour fair' face, face aux monstres en servitude
Soutenir en force, une entorse à nos habitudes
Dénoncer la barbarie, arid' de sentiments
Pour espérer un mond' sain, mondial rassemblement.
Seul dans la mélancolie colique de douleurs
Bercé de théories vain', haine a être un voyeur
A voir en spectateur, acteur d'une vie malsaine
Quand s' écoule le sang , s'en découle hors de nos veines.
Les guid' spirituel' , tutelle idéologique
Refusent le massacre, âcreté théologique
Condamnent le vol , mensonges, songes d'intérêts privés
Ne veulent pas le droit de mort, mort pourtant donnée
La plus terrible peur, heures des traumatisés
C'est l'horrible amalgame, âme encore bouleversée
Affreux mélange, échanger les victimes en bourreaux
De vouloir les bons punir, unir les vrais des faux
Se rassembler et partager , âgées comme jeunes
C'est diffuser de l'amour , de l'amour qui se donne
Est le principe important tant pour nous qu'a autrui
N'est pas un mouton bête qui ensemble s'unit
La bonté c'est l'élan du cœur et c'est merveilleux
Oublions ces insultes, ces non-peptiques à la con
Alors refusons les extrêmes de tous cotés
Car nous avons tous le devoir d'un monde à changer.
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